Me revoici avec la nouvelle photographie.
Ces derniers temps, les textes de l’atelier d’écriture utilisent certains mêmes ressorts narratifs.
Aussi, voici quelques conseils.
– Créez des histoires issues de votre imaginaire. Chaque texte peut avoir une part autobiographique, mais enrobez-la, déviez la réalité comme au travers d’un prisme.
– Variez les registres : ne vous cantonnez pas à un seul ton, sortez de votre zone de confort, grattez vers l’inattendu, surprenez votre lecteur.
– Cet atelier est un exercice d’écriture : l’entraînement est justement de ne pas rester enfermé dans un seul registre. Même si chacun a une patte ou une griffe, ouvrez votre horizon.
– Ne pas écrire du glauque ne veut pas dire non plus de tomber dans le rose girly : nuancez, utilisez toutes les palettes de la réalité. Les couleurs sont nombreuses.
Il me semblait utile d’énoncer ces ajustements, qui, ma foi, sont « normaux » pour n’importe quel « animateur » d’un atelier.
Allez, hop, j’ai assez parlé, place à la création. 🙂
Le formulaire à remplir :
Des souris en rose girly. Challenge accepted
Forcément ! 😀
2 souris pour 13 hommes
2 John pour 13 Steinbeck
C’est ton haïku ?
Si oui, il manque un vers … 😛
Pas simple, pas simple… je me creuse les méninges pour voir si quelque chose peut sortir de ma petite tête:)
Oui, parfois l’idée arrive de façon impromptue, au moment où l’on s’y attend le moins. 🙂
un lien avec la baleine 52 ?
Mouarf ! 😀 C’est mochâsse de faire du placement de produit !
Non, 52 comme un jeu de cartes …
« Allez, c’est à ton tour de couper. »
J’ai un texte à écrire sur cette photo, je l’ai au bord des tripes, là
Comme tu le sais, j’ai beaucoup de mal à écrire sur les photos que tu proposes car je trouve qu’elles ne laissent pas assez de prise. Elles imposent plus qu’elles ne proposent. Et en ce qui me concerne, elles servent plus de prétexte que d’ouverture pour réellement écrire quelque chose de fictionnel 😉
Donc là, photo prétexte à mon goût, mais parfaitement en accord avec ce que j’ai envie de sortir
Hum, je propose des photos fermées justement (à mes yeux) pour qu’on écrive des choses en dehors de ce qui saute aux yeux. Là, ce ne serait guère intéressant de parler des séries de livres qu’on peut trouver dans nos établissements. Aux participants de trouver un angle original …
Et puis, pour des questions de droits, il m’est aussi difficile de publier des photos avec des visages. Et à chaque fois que j’ai proposé des photos avec des personnes, les textes tournaient tous autour de ces silhouettes.
Aussi, paradoxalement ce que tu vois comme photo fermée est au contraire pour moi une liberté que je donne, car les textes peuvent partir dans n’importe quel sens.
Question de point de vue. 🙂
Oui oui et j’exprime bien un point de vue 😉
Ah dommage… j’envoie quand même mon texte…
Allez hop, j’ai écris quelque chose Leiloona… 😉
Cool !
Ecris aussi, quelques lignes, sans doute trop classiques, mais je me lance quand même.
Nous sommes nos plus mauvais juges.