J’ai manqué à mes devoirs la semaine dernière ! Je suis désolée… Voici la nouvelle photographie !
A dimanche pour la publication de vos textes !
La photographie est de Fred Hedin !
J’ai manqué à mes devoirs la semaine dernière ! Je suis désolée… Voici la nouvelle photographie !
A dimanche pour la publication de vos textes !
La photographie est de Fred Hedin !
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merci! et donc cette fois je suis bien sage et programme pour dimanche matin 🙂
Moi pareil suis toujours les conseils
De petite Adrienne
Quoique…
merci de cette proposition
mon texte sera ici dimanche
http://melimelojarjille.canalblog.com/
à bientôt
Bravo pour ce texte. Très frais, bien écrit, avec poésie et humour.
« Laissons pousser les coquelicots »
Comme un jour sans fin
Ne sont tes mots joués
Que j’aime beaucoup
J’ai faim…
Sourires
Bonjour à tous ! J’ai mon texte pour dimanche ! https://leslecturesdantigone.wordpress.com/2023/03/19/latelier-decriture-n430-de-bricabook/
Une nostalgie justifiée, des rêves brisés,… La boucherie survie t-elle ? Le monde va bien vite et fait perdre en cours de route beaucoup d’illusions. Un texte très intéressant.
Je crois que la boucherie n’existe plus ;).
Bien dit
Depuis toujours ainsi va le modernisme
Écrasant …
🙂
Je n’aurais pas cru écrire quelque chose. Et puis… je mets le lien maintenant, sans me relire. Sinon, je pense que je n’aurai plus le courage de le publier https://www.milleetunefrasques.fr/tes-ou-papa-tes-ou
Ton texte est très émouvant. On y sent une spontanéité d’écriture venue comme un éclair en face de la photo. Les souvenirs se déroulent accompagnés de sentiments divers. Super.
« Parce que tue le veau bien »
L’abat-jour
L’abat-soir
L’abattoir
C’est ce soir
Sans surseoir
L’assommoir
Ma bouche rit
Dans l’amer
Sans ma mère
Sous la mer des Sargasses
J’en tremble et m’en agace
Sagace
Et dis ? Est-ce que
L’arabesque
En halal
Ça fait mal ?
C’est ce soir
Sans surseoir
L’assommoir
Ris de veau
Et riz d’eau
Tête de veau
Côte de veau
Côte de Beaune
J’en ris jaune
J’en frissonne
Né en France
Mort en France
Je suis en transe
Vive la France !
En Label de Babel
En Boucherie
C’est mon Tour …
C’est ce soir
Sans surseoir
L’assommoir
Le mouroir
Pouce derrière !
Je … Joker
Je passe mon tour
En compte d’abattis
Décati, équarri
J’ai pas envie
J’aime la vie
Je suis la vie …
Pis, on m’aurait menti ?
Alors Rideau ! Rideau ! Rideau !
Et Haro sur le veau …
Très original. Quelle triste vie pour ces animaux de boucherie, ça me fend le cœur
Oh j’ai beaucoup aimé le rythme de ton texte. Bravo.
C’est très rythmé, on entend battre le coeur de ces animaux menés à la boucherie…
Bravo. C’est un texte qu’on aimerait entendre dit, scandé, comme un rap ou un slam.
Photo et quelques mots …
C’est ici
Merci Kloud d’écrire, et de répondre, Même
Aux blogs
Ici
Fut révelation pour moi
Lire aujourd’hui
En
« Un ce temps tanné
Eurêka, c’est cela
Même »
Bon après on fait comme bon semble.
Ensemble
No problem
Même
🙂
Je rejoins le commentaire de Kloud. Je serais curieuse d’entendre ce texte riche de rimes et de sens.
Ta manière de jouer avec les mots m’impressionne. Bravo!
Merci à Vous toutes, tous
Pour vos mots ici
Sourires
bravo
Bonjour à tous et bon dimanche, voici mon texte: https://marinadedhistoires.wordpress.com/2023/03/19/commerce-de-bouche/
C’est vraiment superbe. J’adore. Plein d’humour, de poésie, de tendresse. Superbement écrit. Bravo.
Un grand merci, Kloud !
« Commerce de bouche »
Trop bien,
En puce j’ai souri plein,
Le coin bouché … sourires.
Merci beaucoup Lothar
Bonjour à tous,
Mon texte est à retrouver ici :
http://albertine22.canalblog.com/archives/2023/03/19/39849064.html
Bonjour tout le monde. Ma participation est sur https://photonanie.com/2023/03/19/brick-a-book-430/
Ton texte est bien. On s’installe comme toi dans ce décor insolite de récupération, c’est agréablement écrit, mais la chute semble évidente une fois qu’on l’a lue. Effectivement, il y a de quoi cauchemarder… Bien vu.
Merci Kloud.
Ne jamais oublier que les lieux ont une mémoire !
Tu as tout compris Joëlle…
« L’appartement »
Bon sang !
Une chute qui glace le sang
J’aime l’optimisme des travaux
Ça motive …
Mon texte se veut positif
Tandis que je traversais le village de Fontargues dans le Vaucluse, je fut surpris de voir une boucherie qui semblait désaffectée, un rideau de fortune tiré derrière la vitrine poussiéreuse. Un homme à la voix chantante s’approcha de moi.
– Il est intrigué, le parisien, n’est-ce pas ? Ah, si cette boutique pouvait parler, peuchère !
Effectivement, mon visage montrait un étonnement qui posait de lui-même une question à mon interlocuteur.
– Je vais vous la raconter, cette histoire que je tiens de source sûre grâce à mon cousin Honoré. Il y a une dizaine d’années le boucher avait constaté que sa clientèle se faisait de plus en plus rare. On mangeait déjà moins de viande à l’époque… Alors il eut une idée, entre nous une idée de fada, de transformer son magasin en boucherie-théâtre pour attirer au moins les curieux. Le vendredi, jour du poisson en général et synonyme de désert pour son commerce, sa femme frappait les trois coups sur le billot, son mari tirait le rideau que vous voyez là, ouvrait les baies vitrées et s’adonnait à la déclamation aidé par son commis qui lui donnait la réplique. Les passants s’arrêtaient, écoutaient et lisaient en même temps les promotions affichées sur les cotes de bœuf ou les escalopes de dinde, le tout entre deux vers de Britannicus ou quelques tirades de Shakespeare.
– Cela était plutôt une bonne idée, non ? La culture rejoint ainsi la nourriture terrestre…
– Oui, mon bon monsieur, mais hélas l’histoire s’est un peu compliqué. Un vendredi de juillet, un bon nombre d’habitants du village s’étaient massés devant le magasin et attendait comme à l’accoutumée le bruit sourd des trois coups. Rien. Le rideau s’est ouvert malgré tout et on a vu apparaître le boucher avec son tablier maculé, seul et l’air abattu. Il criait « Je suis dans le pétrin ! », et parlait tout seul avec des mots si forts et tristes que tout le monde pleurait. Les gens applaudissaient. Ils avaient cru pendant une heure que le commerçant jouait « La Femme du Boulanger » de Pagnol version boucherie, jusqu’à ce que les spectateurs comprennent que sa femme était réellement partie avec son commis. Oui, Monsieur, avec le commis. La semaine suivante, le boucher ne voulait plus servir de viande, couper le rumsteak, larder les tournedos. Le drame pour le village. Alors, l’instituteur a eu l’idée de lâcher une chatte errante dans la boutique. Le vendredi suivant, on entendit de nouveau les trois coups. Le rideau s’est levé et on a vu le boucher s’adresser à la chatte qui passait derrière lui :
« Ah ! Te voilà, toi ? Regarde, la voilà la Pomponnette… », et il a continué son texte avec des larmes dans les yeux.
Le lendemain, la boutique ouvrait normalement, le boucher était à la découpe, sa femme à la caisse. On n’a jamais revu jamais le commis. Voilà l’histoire vraie puisque je la tiens de mon cousin Honoré. Au revoir, mon bon monsieur.
Mon interlocuteur leva sa casquette et parti sans se retourner. C’est fou ce qui peut se passer en Provence. Ce n’est pas à Paris qu’on entendrait raconter des choses comme celle-là.
Un texte à la fois drôle et émouvant…
Quel bonheur de lecture ! Merci pour cette histoire et sa source sûre ( non pas de Manon) mais d’Honore ! Maintenant j’ai la réplique de Raimu en tête 😉
Une histoire qui donne le sourire, comme tu sais le faire. Merci. Pour peu je sentirai le soleil et entendrai les cigales!
gentil remake de Provence j adore!
Texte succulent
Qui genère des images pleines de soleil
Et le sourire, oui
J’ai aimé …
Jealous souleth is the green-eyed
Monster which doth mock
The afeard meat it feeds on.
🙂
À re- Kloud ensuite,
Une Chatte en Médiation jolie pour dire à deux,
En couple,
» On a toujours besoin de petites Poisponnettes chez soi … »
Enfin on avait … Sed O tempora.
Médiation me fait penser Médiator … Et alors
Guitares, j’aime le rap, oui, mais pas que :
https://m.youtube.com/watch?v=kjKbuwhiW6s
https://www.lacoccinelle.net/255981-eric-clapton-old-love.html
Une Chate-Médiation jolie pour pouvoir se dire à deux,
En couple,
« On a toujours besoin de petites Poisponnettes chez soi … «
Enfin on avait … Sed O tempora.
🙂
Quelle belle histoire pleine de charme avec toutes ces références théâtrales et cinématographiques, j’adore !
Bonjour à tous,
Mon texte du jour est à lire ici : http://albertine22.canalblog.com/archives/2023/03/19/39849064.html
Joëlle
On sent que ton texte révolté vient de loin. C’est un cri. Il laisse un constat pessimiste de l’état de notre société un goût amer d’impuissance.
Tu entres le couteau
Ginsu
Là où ça fait mal,
Et puis tu tournes joli …
En fonçant.
J’aime bien
🙂
Bonjour à tous
je n’ai pas été inspirée cette semaine mais j’ai eu plaisir à lire vos textes. Comme chaque semaine il y en a sur tous les tons et toutes les formes. C’est toujours très intéressant et plaisant. Merci à vous et à la semaine prochaine.
À Valérie s
Merci merci,
D’être passée doucement lire et commenter
Quand même.
🙂
Bonsoir, avec du retard (merci les microbes), voici mon texte :
Elle a toujours été attiré
Par ces anciennes devantures
De boutiques
Où les moulures côtoient
Les lettres délicatement sculptées.
Malheureusement encore un art
Qui s’est perdu
Dans l’air du temps.
Les vitrines sont devenues à son goût
Trop simples, trop lisses.
Alors pourquoi
Celle-ci l’attire ?
Peut-être parce qu’elle y voit son reflet…
Sa simplicité installée
Faute d’avoir su l’entretenir.
Très intéressante interprétation de la photo, Céline.
Merci beaucoup
Et toi qui y lis tes angles brisés
Installés
Triangulés … Miroirs petits miroirs.
J’ai bien aimé, merci Céline
🙂
Merci beaucoup