L’atelier d’écriture ouvre de nouveau ses portes, pour la … 8è année !
Les règles ne changent pas : il s’agt d’écrire un texte court à partir d’une photographie. Le rythme est hebdomadaire. Vous écrivez un texte dans les commentaires, puis les participants se commentent entre eux. Le but est de se faire plaisir. Quand vous participez à un atelier, vous ne vous engagez à rien, vous pouvez écrire seulement une fois ou chaque semaine. C’est selon votre rythme et/ ou vos envies.
Dans les commentaires, vous pouvez à la fois dire ce que vous avez aimé, ou dire aussi comment vous auriez écrit cette scène. Par le partage, l’écriture se fera plus forte.
Les textes seront publiés le lundi, si pour des raisons logistiques vous préférez publier le dimanche, vous pouvez aussi.
A vos claviers !
Bonjour,
Désolé du retard
Invitation confirmée,
Merci Cordialement.
GILDAS RAVELLI
JOURNALISTE – RADIODTC.COM
Filiale de France Radio megapresse.fr
CHRONIQUEUR CULTUREL
06.87.69.42.54
75014 PARIS
???
Heureuse de retrouver Bricabook,
Merci Merci Alexandra;.
A très bientôt pour des mots et des lignes…
À tout bientôt !
Alexandra ze Coming back yeah
Hihi!
Je suis enchantée de revenir ici et de retrouver tout le monde, merci Alexandra !
Arquée, cambrée, la tête renversée jusqu’à l’inconfort, l’équilibre d’un bras-balancier aux doigts en éventail, prolongent un bras fléché vers le ciel à la main gracieusement recourbée comme celle d’une danseuse classique. Tignasse flambant rousse éployée sur le ciel pâle. De petites fesses pommées durcies contre la chûte tandis que la poitrine aplatie arbore un écusson coloré, la taille s’étrangle dans cet étirement vers la cîme. Se dépasser, mettre à l’épreuve, se mesurer aux forces de la pesanteur par l’élévation.
Pour Nicole: Parfaite description et subtile interprétation de la photo, j’aime beaucoup.
Très joli regard sur cette photo. Bravo.
Très descriptif, dans le moindre détail et fidèle à la photo 🙂
Telle une extase mystique à la Thérèse d’Avila, entre élan d’élévation et abandon, jouissance et souffrance.
C’est fou Nicole comme vous l’avez magnifiquement décrite cette extase! Merci
Belle entrée en matière..s’élancer vers le haut , ou se jeter du haut..
Bonjour Alexandra,
Bonjour à vous tous
Ravie de vous retrouver pour cette nouvelle saison
Merci Alexandra de nous en offrir l’opportunité
J’espère que vous avez passé un bel été et que ce foutu virus ne vous l’a pas gâché
Bienvenue à tous les nouveaux accrocs à la plume
Bises à tous
Marie
Ce n’était qu’un rêve…
Une plage de sable blanc
Mon esprit s’évade dans tes bras
Une eau turquoise et un ciel d’azur
Tes mains doucement posées sur mes hanches
Le cri d’une mouette, rieuse, moqueuse
Gênée sans doute par nos baisers enflammés
Le doux bercement du ressac
Tout est mouvement, va et vient
Jusqu’à l’abandon, l’extase, je suis toi, tu es moi
Ce n’était qu’un rêve…
Petite bulle de plaisir que j’ai échappée
Éclatée quand est venue la rentrée
Bonjour. Votre texte donne envie d’y repartir. Bonne journée.
Merci Céline
Pour Titounette: C’est beau !!!
Merci
C’est beau comme un rêve délicieux. Merci.
Merci Cloud, contente de te retrouver
Quel dommage que ce ne soit qu’un rêve, je lui souhaite au moins que ce soit le souvenir d’un amour estival
Merci pour cette évasion
Merci. Sûrement la nostalgie d’un souvenir !
Un souvenir qui fait drôlement envie Titounette. On aimerait partager cette bulle…
Merci Photonanie…oui, c’est cool comme souvenir de vacances
Bonjour à tous,
avec plaisir, c’est reparti!
Haut les mains !
J’ai dit haut LES mains !
Que fait donc cette main droite
doigts écartés,
pointée vers le bas ?
Comment crois tu pouvoir atteindre
l’inaccessible étoile,
devenir LA première,
si tu n’obéis pas aux ordres,
haut les mains !
Il faut s’accrocher
se suspendre
apprendre à lâcher le sol
et se faire confiance,
gagner de l’assurance
montrer sa vaillance
fi de la tempérance
montrer sa puissance
et même sa jouissance
sans l’outrecuidance
de développer
une suffisance,
cette inélégance
du cœur.
Haut les mains
haut les cœurs
même combat.
Bien vu. Ce jeu des mots m’a beaucoup plu.
Waouh ! Je n’ai pas d’autres mots
C’est chouette et ça balance 😉
Joli rythme ! Et quelle autorité pour un début d’année 😉
Bonjour à tous ! Vive BricaBook et l’atelier qui fait lui aussi (à sa manière), sa rentrée littéraire ! Et merci à Alexandra pour tout ce qu’elle fait et ce qu’elle nous propose au fil des années avec fidélité et bienveillance.
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Le ciel est aujourd’hui aussi pur qu’une lettre d’amour qui attend d’être écrite. Tom est amoureux. Il a onze ans, c’est la première fois. Ce matin, il vient d’embrasser longuement Jade sur la bouche. C’était bon, c’était chaud, il y a même trouvé un goût de fraise Tagada. Ils se sont dit des secrets, de jolis mots empruntés. Tom lui a raconté qu‘il avait vu à la télé un reportage sur des pays lointains: il paraît que des magnifiques oiseaux multicolores dansent de manière effrénée devant celles qu’ils aiment pour déclarer leur amour ; on les appellent les oiseaux du paradis. Tom veut être pour Jade un oiseau du paradis. Il entame alors un ballet enchanteur qui emplit tout son être. Assise sur l’herbe, elle le regarde, l’admire, les joues un peu rougies de plaisir. Il danse comme un fou. Un fou amoureux, comme ceux dont on se moque mais qu’on n’enferme pas. De son doigt levé, il trace dans les airs le nom de sa fiancée. Il n’a même pas besoin de la regarder. Elle est dans sa tête, son coeur et même dans toutes les parties de son corps qui semble renaître étrangement ce matin. Les nuages arrivent peu à peu, la nuit tombe. Mais au dessus d’eux le ciel d’azur se fixe quelques heures encore. Un cadeau du Temps pour laisser croire à leur jeunesse que l’amour est éternel.
Beau récit. Pendant un instant, j’ai revécu ces premiers émois si justement écrits.
Merci Cloud.
Ah les 1ers amours, inoubliables et tellement adorables. Bonne journée sous le signe de l’enfance
Pour Cloud: Comme c’est romantique ! J’aime tout particulièrement la phrase: « Un fou amoureux, comme ceux dont on se moque mais qu’on n’enferme pas. »
pas d’amour de sa vie
sans des premiers amours
C’est magnifique, je suis émue, une larme à l’œil et le sourire aux lèvres ! Merci
merci à toi
Merci Cloud pour ce premier amour tout en tendresse timide mais prometteuse…
Que c’est beau …belle parenthèse de douceur. Merci Cloud
C’est très beau et pur. Bravo Cloud!
Hello ! Très heureuse de retrouver l’atelier et vous tous.
Plateau de scène
Ne me dites pas l’impossibilité d’être qui je suis
J’ai l’immensité du ciel et la Terre comme plateau de scène
Alors de voyages traversés en traversés de voyages
Saltimbanques, danseurs, artistes de tous vents
Nous libérerons les espaces publics, les esplanades, les parcs, les parvis et les jardins
Nous partirons à la rencontre des passants, prendrons les flâneurs comme témoins
Et des spectacles de nos œuvres dansées
Nous puiserons toute latitude de nos arts vivants
Notre liberté retrouvée
J’adore votre texte !!! Belle journée
Pour Laurence: un beau texte optimiste qui donne envie d’aller de l’avant ! Merci !
Bel hymne aux arts vivants. A nous d’avoir conscience de leur importance.
En ces temps troublés, ils en ont particulièrement besoin.
Merci Cloud
je ne sens pas ma liberté restreinte
Vive la liberté !
La liberté du corps et des arts de la scène ou de la rue, tels des oiseaux qui se posent où ils veulent…selon leur bon plaisir 🙂
Très heureux de retrouver ce rendez-vous (pour une cinquième année déjà !). Merci Alexandra.
« Les sentiments dépassent souvent les souvenirs. »
La main tendue dans vers le ciel, vêtue d’un haut blanc et d’un pantalon pâle. La bague d’argent entoure son index fragile. Elle ferme les yeux, le ventre plat, la cage thoracique complètement vidée de son air. En apnée, comme en apesanteur. Le geste est souple, exécuté au ralenti, tel un film de science-fiction où Keanu Reeves découvre l’existence de la matrice. Elle se déplie comme une feuille à l’automne, avant de prendre son envol. La vision dure quelques secondes, puis cesse brusquement. Elle redescend les mains le long de son corps, et se tourne, en fixant l’objectif de ses yeux bleu nuit. La photographie est splendide. Les couleurs sont correctes, la pose est unique. Le souvenir est dans la boîte. Pourtant, le jeune photographe retiendra surtout, dans quelques mois, quelques années, la liberté, le bien-être qui enveloppaient à la fois cette main tournée vers le ciel, et ce regard si pénétrant. Un sentiment d’accomplissement, qui dépassera à bien des égards le souvenir que représente cette image.
Excellent. J’aime cette analyse de l’image qui différencie l’anecdotique de l’intemporel.
Joli ! Au delà de l’image, l’expression d’un ressenti vibrant !
Où comment un instant fugace devient un souvenir éternel ! Bravo et merci pour ce très beau texte
Le pouvoir de mémoire e la photo, quand elle est bien fait (en référence à mon texte 😉 )
Des lettres envolées…le doigt trop léger sur le clavier: je répète:
Le pouvoir de mémoire de la photo quand elle est bien faite.
Un joli regard sur cette photo. Bravo Victor!
Ce ciel, elle l’avait imploré et supplié. Elle avait prié aussi Yahvé pour qu’il lui ouvre cette porte fermée à double tour.
Parfois l’astre solaire complice venait lui faire quelques clins d’œil rassurants, l’assurant que le grand jour approchait. En attendant il la rassurait en lui promettant de bien réchauffer les âmes montées trop tôt là Haut.
D’autres jours, quand il pleuvait, c’est comme si les nuages pleuraient de la voir trop impatiente et désespérée.
Mais demain, tout le monde avait décidé qu’on allait la célébrer, sa mère. Il parait que cela faisait 5 ans qu’elle était montée au ciel à cette date et qu’il était temps qu’on pense à elle le cœur apaisé. Elle avait entendu des choses se tramer en secret et avait compris qu’enfin une porte s’ouvrirait pour que sa mère puisse redescendre la prendre dans ses bras le temps d’une journée.
Aussi, ce soir, avant que le bleu du ciel n’aille se reposer, elle lui fit une jolie de danse pour le remercier en avance de ce beau cadeau qu’elle s’apprêtait à recevoir : être à nouveau câlinée dans les bras de sa mère toute une journée. Pour sûre qu’elle allait en profiter pour boire à cet amour à satiété.
Pour Kroum: j’aime beaucoup ton interprétation originale de la photo.
Magnifique. Excellente idée, très bien écrite simplement, avec une émotion palpable. Bravo.
Très touchant.
Merci Kroum
Oh lala, j’en ai des frissons, quel texte sublime ! Merci pour cette belle émotion
Une belle idée que cette journée de récréation mère-fille, par delà la mort.
Bonjour, mon texte est à retrouver ici: https://marinadedhistoires.wordpress.com/2020/09/14/la-pub/ ou bien ci-dessous:
LA PUB
On m’avait demandé de jouer dans cette pub ; une pub pour la pureté de l’air et la pureté de l’eau. Parce que j’avais un physique sain, une allure dynamique, parce que j’étais jolie et naturelle, parce que j’avais vingt ans… A l’époque je me fichais bien de l’écologie, j’avais accepté de faire ça pour l’argent, pour sortir, boire, danser, fumer, m’acheter des habits, des chaussures, du maquillages, des trucs et des machins… J’affectionnais particulièrement un magasin qui s’appelait « Au plastique » on y trouvait des tas de babioles, des objets utiles ou pas, aux couleurs vives et attrayantes, toutes faites de ce même matériau : le plastique, vedette des années 80… Pas vrai Plastic Bertrand ?
Aujourd’hui j’ai 60 ans et tout a changé. J’ai des rides profondes et plusieurs kilos en trop. Le magasin « Au plastique » a été remplacé par un magasin « En vrac ». Je m’y traîne chaque semaine avec mon masque, mon gel hydro alcoolique, et mes bocaux de verre parce que c’est bon pour la planète, je le sais bien… Pourtant, je dois l’avouer, j’ai la nostalgie des années 80, époque de folle insouciance, c’est vrai, mais aussi celle de ma jeunesse !
Il y a de la nostalgie et de l’humour. C’est bon d’avoir ce recul.
Merci Cloud
Au delà de la nostalgie qui émane de ton texte, j’ai trouvé ton descriptif de l’image intéressant, il est à la fois le reflet d’une pub qui effectivement aurait pu être tournée dans les années 80 (bien vu !) celui de toute une génération qui vivait l’ère du plastique comme allant de soi et le constat d’une régression annoncée.
j’ai beaucoup aimé.
Merci beaucoup pour ton commentaire, Laurence. C’est vrai que dés que j’ai vu cette photo, j’ai pensé à une pub. Bonne journée.
Je me retrouve bien dans cette insouciance des années 80, décennie de mon adolescence !
Texte très bien vu ! Bravo
Oups, mon commentaire n’est pas là où je le voulais ! Il est adressé à Céline donc ! toutes mes excuses
En fait non ! Je pense que je suis un peu à l’ouest 🙂
Merci Cécile
Bonne idée que la pub un peu rétro, oh pardon Vintage comme on dit maintenant 😉
Oui, les termes changent mais c’est la même chose
Le temps passe…et on a perdu en chemin une part d’insouciance . Bravo Marinadedhistoires
Merci Titounette
Bonjour.
Ravie du retour de cet atelier d’écriture.
Voici mon texte du jour. Bonne journée.
To do list :
Lâcher du lest
Ne plus s’oublier
Faire parler les silences
Se réconcilier avec soi-même
Écouter son corps
Suivre son cœur
Larguer les poids accumulés
(Re)devenir bienveillant
Se réapproprier ses pensées
Se laisser guider par son intuition
Se délester de l’étau du passé
Fuir le négatif
Rêver à nouveau
Ne plus se fixer d’objectif
Ne plus se laisser envahir
Oser se défendre
S’autoriser à aimer et à être aimé
Mettre des mots sur les plaies plutôt que des larmes
Croire à nouveau à l’avenir
Se faire accompagner
Accepter le renouveau
Revenir à l’essentiel
Se laisser porter
Carpe diem
Et finir par se libérer…
La liste est longue, elle est juste. Beaucoup d’items peuvent être vécus en même temps, heureusement.
Oui heureusement et effectivement il y a du travail mais je reviens d’un peu loin alors au boulot
Tout un programme ! Et celui-ci me plait, il tend vers le meilleur 🙂
Merci Céline
Oui une sacrée rentrée mais je reviens d’un peu loin alors il est temps de s’y mettre.
Un grand merci ! Ce texte correspond exactement à ce que je dois faire ! Je me sens motivée maintenant ! Encore merci Céline
Avec plaisir !!!
Elle me plaît ta « to do list » et Carpe Diem apparaît en grand sur un mur de mon salon, je ne peux donc qu’adhérer 🙂
Top !!! J’y crois de plus en plus au Carpe diem surtout quand on a connu la maladie d’un proche et la sienne.
Une vie suffit elle à cocher toutes les cases de la liste ? J’espère…bravo
Les avoir en tête est déjà un bon début et parfois les uns s’accrochent aux autres ou coulent de source. Merci
Je signe au bas mais il y a du travail… bravo Céline
Oui un peu mais je reviens de loin alors au boulot en effet !!! Merci
la force me manque
Bonjour,
Voilà ma participation:
Tendre vers la vie
Tendre vers la vie
En tendant
Son doigt vers le ciel
Son corps vers le soleil
Qui réchauffe
Tendre
Son cœur vers la pluie
Qui lave et nourrit
Tendre son âme
Vers le plaisir
Tendre vers la vie
10 septembre 2020
Merci et bonne journée
c’est beau, tendre vers l’optimisme de ce que nous apporte la vie.
Merci Laura
Ce poème fait du bien ! Merci
J’aime bien ce texte que je trouve tendre 🙂
Et oui c’est souvent une question de choix de direction, comme le verre à moitié plein/vide. Bravo
Joli. Tendre vers la vie est une belle image pleine d’espérance.
Merci
Malgré le deuil ou peut-être à cause du deuil, il faut vivre… pour deux
Bonjour tout le monde. C’est sympa de se retrouver ici pour continuer l’aventure 🙂
Voilà ce que cette photo m’a inspiré (ce texte se trouve aussi dans mon espace https://photonanie.com/2020/09/14/brick-a-book-376/)
Purée Josiane mais qu’est-ce que tu as fait!
Je t’envoie en reportage dans cette nouvelle école de danses modernes, je te demande « simplement » de rapporter quelques photos donnant une idée de mouvement, de légèreté, de grâce pour illustrer un article et toi, que fais-tu? tu m’apportes un seul cliché où on voit le ciel, surtout le ciel, mais on s’en moque un peu du ciel, non? Et par contre on ne voit pas les jambes ni les pieds de la danseuse!
Tu imagines vraiment des danseuses sans pieds ni jambes? Ah ben oui tiens et à côté j’écrirai une histoire sans queue ni tête comme ça le tableau sera complet! C’est sûr que ça va vachement intéresser nos lectrices ça, c’est sûr.
D’accord la position de la jeune fille est suggestive, on voit bien qu’elle ne souffre pas d’arthrose et sait cambrer les reins tout en continuant à sourire. Moi, à mon âge, ça suffit déjà à me faire rêver mais je te rappelle que la moyenne d’âge de nos lectrices est 25 ans Josiane!
Et quand je cherche les autres clichés sur la carte mémoire de l’appareil, je ne trouve rien, nada.
Comment? ah, tu avais oublié de recharger ta batterie? Wouah! Mais tu vas gagner le titre de reporter de la semaine c’est sûr ça! Non je plaisante Josiane, après un coup pareil, tu vas surtout gagner la porte, l’ouvrir, sortir et ne plus revenir. On t’enverra tes affaires personnelles chez toi!
Si par hasard quelqu’un souhaitait engager Josiane, je communiquerais ses coordonnées avec grand plaisir 😀 (euh, je rigole là 😉 )
Je ris car j’imagine la tête de Josiane et celle de sa cheffe ! J’aime beaucoup ton angle de vue ! Merci pour ce rire bien agréable !
PS : je l’embauche, mo,i Josiane, j’aime vraiment son œil, voire son côté, décalé !
Si j’ai pu te faire sourire, c’est que je n’ai pas perdu mon temps Cécile
On ne perd jamais son temps en écrivant 🙂
Super ! Bravo pour cette idée ! Il y a un temps où on cherchait à réaliser le bon cluché. Aujourd’hui, on sélectionne…
On serait même dans la démesure aujourd’hui vu que ça ne coûte plus rien de faire des tas de photos…pas toutes exploitables d’ailleurs 😉
Excellent ! 😀
Merci Laurence 🙂
original et drôle
Merci Laura
Quelle belle idée !!! Bravo
Merci aussi à toi Céline
Bonjour Alexandra,
Quelle joie que l’atelier soit de retour ! merci 🙂
Voici mes mots :
Je lève mon doigt vers le ciel ! J’existe, je suis vivante, j’aime !
Je laisse mes cheveux dans le vent ! Je suis sur cette Terre, je suis bien, je suis heureuse !
Je danse avec le vent ! Je porte la vie, je danse, je chante, je suis vivante !
Bon lundi et je file lire les textes des autres participant-e-s
Lapidaire, ce texte va à l’essentiel sans s’encombrer de falbalas pour traduire le ressenti, j’aime bien.
Merci beaucoup 🙂
Belle énergie positive !
Pour débuter la semaine c’est parfait 🙂
On ressent beaucoup de joie de vivre à travers tes mots ! Bravo Cécile!
un peu l’esprit du mien, non?
Laura,oui, mais je n’avais lu que la phrase « le doigt vers le ciel »
Si cela pose problème, je supprime mon texte bien évidemment, je trouverai cela parfaitement normal
Et bien évidemment, je le supprime de mon blog immédiatement
Laura ce’st fait et toutes mes excuses pour ce plagiat involontaire. J’espère qu’Alexandra pourra supprimer mon texte
oh non pas du tout!
je voulais le même esprit
de carpe diem
Ouf, je reconnais que je suis très excessive dans mes réactions 🙁
Carpe diem oui c’est tout à fait ça ! Merci
moi aussi, loll
Quel bonheur de retrouver tout le monde, d’écrire à nouveau, de partager, et de faire la lecture… un grand merci à toi Alexandra, formidable travail empli de patience et de bienveillance,
A bientôt !