par Alexandra Koszelyk | Jan 30, 2017 | # Parfois j'écris ..., Atelier d’écriture, Une photo, quelques mots
Je suis montée sur la colline L’horizon pourpre derrière moi J’ai entendu dans le creux du vent Ton âme J’ai alors déposé dans un souffle Mon papier de soie Il volette Et porte sur lui Ciselé Mon amour adamantin Là haut la lune éclairait mes pensées...
par Alexandra Koszelyk | Jan 23, 2017 | # Parfois j'écris ..., Atelier d’écriture, Une photo, quelques mots
Oui, c’est là qu’il faut aller respirer, rêver et allonger les heures par l’infini des sensations. Un musicien a écrit l’Invitation à la valse ; quel est celui qui composera l’Invitation au voyage, qu’on puisse offrir à la femme aimée, à la sœur d’élection ? Oui,...
par Alexandra Koszelyk | Jan 21, 2017 | # Parfois j'écris ..., Atelier d’écriture, Une photo, quelques mots
Me revoici avec un message plus concret pour l’atelier d’écriture du week-end du 1er avril ! Pour le moment nous sommes 5 personnes à venir. Il reste encore des places. La surprise Vous vous rappelez, je vous avais parlé d’une surprise. Alors pour...
par Alexandra Koszelyk | Jan 16, 2017 | # Parfois j'écris ..., Atelier d’écriture, Une photo, quelques mots
J’étais une femme-négatif. Faite de noir, de blanc, et dotée d’un voile transparent. De fines particules incomplètes qui virevoltaient au gré du vent. Peu après ma naissance, des sorcières m’ont jeté un sort et m’ont dépouillée de mes armes....
par Alexandra Koszelyk | Jan 9, 2017 | # Parfois j'écris ..., Atelier d’écriture, Une photo, quelques mots
A ma muse mordante et à Рідна мати моя Ils étaient une petite dizaine autour du feu et se connaissaient bien : depuis quelques années maintenant ils participaient chaque lundi à l’atelier d’écriture. Le vin avait coulé, les esprits étaient à la lisière de...
par Alexandra Koszelyk | Jan 2, 2017 | # Parfois j'écris ..., Atelier d’écriture, Une photo, quelques mots
Chante, chante ma plaine, ma terre, mon âme, ouvre tes plaies de sulfure chthoniennes, et déverse tes larmes ambrées dans le calice verdâtre de cette herbe irisée. Combien de fois ai-je foulé de mes pieds d’ours cette parcelle qu’acheta jadis mon père ?...