par Alexandra Koszelyk | Oct 15, 2018 | # Parfois j'écris ..., Atelier d’écriture, Une photo, quelques mots
Albert et Marine, Éléonore (†), ses enfants; ses petits-enfants et arrière-petits-enfants, sa famille et ses amis ont la tristesse de vous faire part du décès de Monsieur George DARDOUET survenu à l’âge de 83 ans. La cérémonie religieuse sera célébrée, mardi 10...
par Alexandra Koszelyk | Oct 8, 2018 | # Parfois j'écris ..., Atelier d’écriture, Une photo, quelques mots
Dans le velours de la nuit, un bruit perça mon sommeil. Je m’éveillai, le coeur en cacophonie, et m’aperçus, dans l’entrebâillement des persiennes, des ouvriers creuser le bitume. Je restai interdit. Le bras gauche en suspension interrogative. Je me...
par Alexandra Koszelyk | Oct 1, 2018 | # Parfois j'écris ..., Atelier d’écriture, Une photo, quelques mots
Les orteils de Tim ne dépassaient jamais du dallage noir de la piscine. C’était sa limite, avant de plonger. Les mains en éventail sur son front, il fixa l’horizon. Le soleil l’éblouit, les couleurs se confondaient au delà du ruban aquatique, comme...
par Alexandra Koszelyk | Sep 24, 2018 | # Parfois j'écris ..., Atelier d’écriture, Une photo, quelques mots
Derrière la vitre, le paysage défile aussi vite que ces dernières années. Je t’observe. Tes épaules voûtées, ton front dégarni, ta bouche tremblotante, mais je ne vois que tes yeux. Ton iris capte toujours autant la lumière. On raconte que notre vie défile avant de...
par Alexandra Koszelyk | Sep 17, 2018 | # Parfois j'écris ..., Atelier d’écriture, Une photo, quelques mots
A l’entrée du tunnel, Sen coupa le moteur. La voiture n’irait pas plus loin. Elle prit son sac à l’arrière de la voiture, puis descendit. Le silence la surprit : dans cette zone, les oiseaux ne chantaient plus. Voumvoumvoumvoumvoum Dans la galerie, s’élevait un bruit...
par Alexandra Koszelyk | Juin 25, 2018 | # Parfois j'écris ..., Atelier d’écriture
Sa respiration régulière m’avait bercée, je ne me souvenais pas m’être endormie. Les réverbères de la rue zébraient les murs d’arabesques mauresques, et plongeaient notre chambre dans un conte des mille et une nuits. Le jour ne tarderait pas à se...