par Alexandra Koszelyk | Déc 18, 2017 | # Parfois j'écris ..., Atelier d’écriture, Une photo, quelques mots
(Suite du texte du 10 décembre.) Mon réveil fut étonnamment doux. Le goût amer de l’amande n’était qu’un lointain souvenir. Et, si ce n’était ces marques autour de mes poignets, j’aurais pu me croire en goguette ou revenue chez moi. Je ne...
par Alexandra Koszelyk | Déc 13, 2017 | Atelier d’écriture, Une photo, quelques mots
La nouvelle photo qui servira de base à l’atelier n°288 ! Ce sera le dernier atelier 2017. Ensuite petite pause pendant les fêtes, puis nous nous retrouverons début janvier (le temps de la digestion.) A lundi ! Quelques règles à suivre. Le formulaire à remplir...
par Alexandra Koszelyk | Déc 11, 2017 | # Parfois j'écris ..., Atelier d’écriture, Une photo, quelques mots
J’arrivai essoufflée sur le tarmac. Mes semelles pleines encore de cette glaise poisseuse de cimetière. Il me fallait rentrer au plus vite. Ma petite L m’attendait. C’est alors que je croisai son regard. L’expression « glacer le sang » est...
par Alexandra Koszelyk | Déc 5, 2017 | Atelier d’écriture, Une photo, quelques mots
La nouvelle photographie de la semaine ! (Et je tenais à remercier les participants de leur envoi avant dimanche ! C’était parfait : on refait la même chose la semaine prochaine ?) Il y aura une pause durant les fêtes de Noël : la photo du mardi 19 décembre...
par Alexandra Koszelyk | Nov 29, 2017 | Atelier d’écriture, Une photo, quelques mots
Merci Emma-Jane Browne ! Les textes seront publiés lundi prochain. Une page word. A envoyer avant dimanche 22 h, sinon votre texte ne sera pas publié le lundi matin (trop la course pour moi), mais dans le courant de la journée, voire en soirée… Merci de...
par Alexandra Koszelyk | Nov 27, 2017 | # Parfois j'écris ..., Atelier d’écriture, Une photo, quelques mots
Je ne sais pas à quoi pensent les matelots quand ils croisent ces paquebots remplis de touristes. Je ne sais pas à quoi pensent les touristes quand ils croisent ces bâtiments de la Marine Nationale. Peut-être qu’après tout, ils ne pensent à rien. La mer, le...