Quand une sorcière est belle, eh bien, ça s’appelle une fée

par | 21 Mai 2018 | # Parfois j'écris ..., Atelier d’écriture, Une photo, quelques mots | 118 commentaires

Le cœur battant, Mo referme la porte de chez elle. La pagaille et les cris étouffent son esprit. Elle tente de reprendre sa respiration : ici, elle est en sécurité. Il lui reste encore à fermer ses volets, car les vitres ne résisteront pas longtemps à la force du vent. Mais à peine ouvre-t-elle sa fenêtre qu’une bourrasque la surprend. L’oeil du cyclone avale Mo et ses livres.

Autour d’elle volent des formules algébriques, des crimes, de l’amour, du feel-good,  des Nobels, de la haine, des essais, des modes d’emploi. Les titres s’entrechoquent dans un ballet cacophonique. Elle a à peine le temps d’être effrayée : son dictionnaire de latin heurte son crane, et la plonge dans un sommeil sans rêves. Quand elle reprend ses esprits, elle est allongée sur un lit de livres. Ils ont dû amortir sa chute car la jeune fille n’a que quelques bleus sur les jambes. Elle a à peine le temps de découvrir le paysage inconnu qu’une fée fait son apparition et la mitraille de questions :
– Es-tu une fée ou une sorcière ?
La pauvre Mo ne sait que répondre, la limite du bien et du mal est une notion flottante, et la fée ne semble pas disposée à l’écouter disserter : elle pointe sur elle une baguette menaçante.
– Ces livres sont-ils tous tes grimoires ?
Mo sourit :
– Là où je vis, j’écris des histoires. J’en lis aussi. Ces livres sont ma matière, ma source, mes racines. Ils sont comme ces albums photos qu’on aime regarder. Chacun renvoie à un moment. Là, regarde, celui-ci a été annoté de ma plume d’étudiante, celui-là contient un mot galant, et les pages de ce troisième sont tellement cornées que le livre ressemble à un hérisson. Ma vie est là. J’y puise des secrets, avant d’en créer. Ce sont tous mes grimoires.

La fée, effrayée par tant d’histoires, tape de sa baguette les cheveux de Mo. Celle-ci se réveille chez elle. Rien n’a bougé. Ses livres sont à leur place. Elle se retourne du côté droit du lit, et sourit. Elle est bien revenue chez elle, ce n’était qu’un rêve. Apaisée, Mo se blottit alors contre les flancs de son lion qui n’a rien d’un poltron. Sa chaleur la berce, elle se demande quel lien existe entre son étrange rêve au pays d’Oz et le match de l’OM de la veille.
Une lettre change et tout est repeuplé.

© Alexandra K. dimanche 20 mai

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© Manue :

Toute la magie avait disparu.

Il ne restait plus que la funambule, sans fil, et le gouffre. Un trou béant aspirant ses envies et reléguant ses doutes à des souvenirs presque distrayants. Un corps et une âme à nu. Le sentiment d’être deux, le personnage public, certes un peu fatigué mais toujours souriant, et un être dilué, assommé, noyé dans une mélasse gluante, s’enfonçant lentement chaque jour un peu plus en se demandant si enfin il allait toucher le fond pour reprendre sa respiration.

Ou non.

Au bord de son vide, luttant toujours pour attraper sa précieuse ligne de survie, elle se jeta alors dans les mots, plongea dans les livres, sans y croire vraiment, et il n’y eu plus d’heures ni de temps, plus de pensées boueuses, le papier gorgé d’eau limitait la noyade, et les sentiments des autres, silhouettes d’encre, gommaient un instant son mal être. Elle oubliait.

Et de l’oubli naît le désir. Un désir neuf nourrit le corps, il lui rend le souffle, la vue, la perception des choses. Le trou était là, sombre, mais moins dangereux, plus lointain. Et le droit au bonheur retrouva sa place. Doucement. Des mots amis, qui réchauffent, qui libèrent, qui font sens, murmurés à son oreille, la sauvèrent.

Maintenant la funambule marche au dessus de son gouffre … celui-ci n’est plus qu’un décor dessiné sur le trottoir par un artiste un peu magicien. Elle s’arrête au dessus et peu mesurer sa profondeur. Tout au fond il reste bien sûr un peu de noirceur mais au dessus la vie tourbillonne. Mot après mot la ligne s’épaissit, son pas se fait plus sûr et un jour, qui sait, la funambule descendra de son fil pour danser sa vie.

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© Tara :

Mais que sont devenus dans mon esprit les livres lus au cours de ma vie? Un amoncellement de titres, plus ou moins effacés ou cachés, des pages qui passent progressivement de la lumière à l’ombre en tourbillonnant, des histoires ou des bribes de vies, des personnages plus ou moins marquants ou proches, des sujets inspirants ou pas, des styles marqués ou non.

Les genres se sédimentent dans la catégorie lecture de mon hippocampe : romans, essais, poésie, lectures professionnelles ou de distraction, tous sous la forme du livre qui masque la diversité des contenus. Rapidement les derniers dévorés enfoncent plus loin les plus anciens, pris dans l’entonnoir des capacités mnésiques, s’inscrivant au mieux dans les ombres de l’inconscient, au pire lessivés ‎et drainés avec les déchets du fonctionnement neuronal. Quelle chance ai-je d’extraire de ce maelstrom un souvenir quelconque ? L’idée que je me suis faite du livre, l’impact qu’il a eu sur ma vie, la force des émotions provoquées, le maintiennent plus ou moins longtemps en surface, accessible par des associations de circonvolutions. C’est surtout le récit qu’on en fait, ou qu’on s’en fait, qui ravive et conserve, et souvent déforme le souvenir conscient de telle ou telle œuvre.

Et que reste-t-il des lectures électroniques ? La mémoire privilégie-t-elle l’objet de papier ? ‎Les kinesthésiques se rappelleront probablement le poids, l’épaisseur, la qualité du papier, la prise en main des meilleurs compagnons littéraires. Les visuels auront retenu la couverture, et resteront attachés éternellement à la même édition. Les auditifs s’en fichent et plongeront avec délectation dans le support audio et son rythme lent du langage parlé, stocké probablement dans une autre zone du cortex, s’amenuisant dans son propre vortex. Et si multiplier les supports de lecture permettait de maintenir autant de piles de souvenirs, multipliant les accès conscients aux ouvrages précédents ? Quoiqu’il en soit, chez les hypermnésiques comme chez ceux dotés d’une mémoire de poisson rouge, la machine à oublier prend la même forme de spirale vers le néant, plus ou moins rapide selon les cas.

Et pourtant, même happés par l’hélice du temps, tous ces mots lus, toutes ces idées, ces sentiments, ces personnages ont laissé en moi leur trace, dans d’autres lieux, sous d’autres formes. Ils ont forgé et ciselé mes convictions, ont enrichi mon lexique personnel, nourri mes comportements. L’essence de ce que j’y ai lu me constitue.

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Iza © :

Sortir du grand bain amniotique pour replonger dans un maelström d’encre… or doncques…

Oui-Oui, Jojo Lapin, Fantômette, Rüdiger von Dentkreuz, Cadichon, Alice, les sœurs Parker, Ulysse, Kino, Atala, Winston, S. T. Garp, Thomas Jerome Newton, Raphaël de Valentin, Pangloss, Jean-Baptiste Grenouille, Dracula, Lestat, Dorian Gray, Werther, Ahasverus, Frédéric Moreau, Gregor Samsa, Julien Sorel, Georges Duroc, Valmont, Lucien de Rubempré, Katharina Blum, le professeur Unrat, Lorenzaccio, Oscar Matzerath, Karl von Moor, Caliban, Ophélie, Michael Tolliver, Benjamin Malaussène, Wallander, Maxime Mainard, Bourbon Kid, César sans Paz, une baleine thébaïde, Léna… etc, et al., et j’en oublie.

A travers eux, devenir soi et écrire sa propre histoire…

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Val © :
Lucie, ma meilleure amie, très parisienne est toujours à l’affut de l’Exposition qui fait le buzz. Elle n’y comprend pas toujours grand chose mais là où il faut être, elle y est. En tant que bloggeuse, elle se doit de se tenir informée sur tout afin d’aviser ses followers et de les conseiller en terme de sorties, de lectures, d’achats… En terme de lecture, de mode, de maquillage, de plaisirs de la bouche… elle s’en sort très bien. Par contre, quand il s’agit de parler d’art, elle me demande toujours de l’accompagner et de l’aider à écrire ses chroniques. Déjà au collège où nous nous sommes rencontrées Lucie et moi, l’art plastique n’était pas son fort alors que c’était ma matière préférée. Je n’en ai pas fait mon métier pour autant puisque je suis infirmière mais j’ai au fil des ans acquis une certaine culture et un regard critique. Le prix des expositions parisiennes m’a longtemps freinée dans mes visites mais avec son blog qui commence à être bien connu, Lucie reçoit plétores d’invitations pour des vernissages auxquels elle me convie dès que mon emploi du temps me le permet.

Aujourd’hui nous avons assisté à l’inauguration d’une exposition d’art contemporain au Palais de Tokyo. J’avoue que ce n’est pas ce que je préfère. Les œuvres contemporaines m’amusent parfois, peuvent m’impressionner mais souvent elles me laissent insensible voir hermétique. Aussi je ne m’attendais pas à être autant touchée lors de cette visite. Et pourtant devant cette œuvre de Paul Luy, je suis restée scotchée. J’avais biensûr déjà vu des accumulations, celles d’Arman plutôt amusantes ou celles de Boltanski évidemment qui elles, m’avaient particulièrement émues. Mais là, j’étais happée, comme emportée dans un tourbillon. Cette œuvre me parlait et m’invitait à une introspection. L’auteur à côté expliquait son cheminement : le choix de la forme, des dimensions, des livres accumulés qu’il n’avait pas choisi au hasard bien évidemment mais qui avaient tous leur raison d’être dans son œuvre. La place de chacun d’eux avait été étudiée, calculée pour que de l’un on voit le titre, de l’autre une image, des signes… L’espace avait été mesuré et chaque millimètre investi avec reflexion afin de donner à son œuvre cette profondeur.

Beaucoup de visiteurs passaient devant indifférents, sans ressentir la moindre émotion. Je ne pouvais me décoller, comme tomber dans un trou béant. Je n’ai pas entendu ce que l’artiste a dit sur ses objectifs, motivations, messages qu’il voulait véhiculer…ou n’ai pas voulu entendre. Je m’en étais fait mon interprétation et cela me suffisait.

Lucie qui avait déjà fait le tour de l’exposition, serrant des mains et claquant la bise à plusieurs reprises comme d’habitude, me tirait par le bras pour partir.

« Allez viens, on file. Je n’ai rien vu d’extra. A moins que toi tu sois inspirée…

On vient à peine d’arriver, je n’ai encore rien vu.

Tu veux rire, ça fait une heure qu’on est là. »

L’oeuvre de Paul Luy m’avait complètement captivée et je n’avais pas vu le temps filer. Pas sûre de pouvoir mettre des mots sur mon ressenti. Je garderai ce trésor pour moi, au pire.

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Venusia © :
Avalés entiers
Mille feuilles de rêves disparaissent
La machine hoquette

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Nady © :
COMME UNE PARENTHÈSE

Lire du matin au soir,romans, nouvelles, essais…
Qu’importe ! du moment que ça te plait
et te déconnecte du monde le temps d’une parenthèse enchantée.
Lire mais que sur papier,ou bien choisir l’écran…
Les sens vont décider, ça dépend
S’ils veulent satisfaire le toucher ou alors rien d ‘encombrant.
Lire, un peu, beaucoup, modérément… Lire, ici, là bas et maintenant… Lire, s’enfuir, jouir, c’est évident.
Lire et t’engouffrer dans un tunnel d’histoires pour apaiser ta solitude
ou échapper à un quotidien de lassitude,
A moins que ça ne soit pour dissiper tout sentiment d’inquiétude….
Lire pour voyager, même à travers l’Histoire,
Et ainsi apprendre ou ne rien oublier en tenant parfois un mouchoir
Et tout ancrer dans ta mémoire.
Lire, un peu, beaucoup, passionnément… Lire, toujours et parfois aveuglément… Lire, découvrir, relire, évidemment
Lire en silence ou préférer la scène
Pour t’épanouir dans l’oralité, mais attention au manque d’oxygène !
Ou plus discrètement à la lumière d’une lampe hallogène.
Lire jusqu’à en rire
Quand ça ne t’esquisse pas qu’un seul sourire
Le tout c’est te faire plaisir.
Lire, un peu, beaucoup ou pas du tout ? Lire, t’a-t-on donné le goût ? Lire, respirer, vivre, c’est comme un tout
Lire un navet,Parce qu’ « on » a décidé d’en faire un succès
Mais l’histoire ne te convient pas alors pourquoi persévérer ?
Non, merci de ne pas perdre ton temps, c’est terminé !
Lire des auteurs morts ou vivants ? Pourquoi ne pas alterner ?
Les uns c’est notre patrimoine culturel tellement leur plume est une félicité
La découverte des autres c’est aussi s’ouvrir à la nouveauté.
Lire, un peu, beaucoup, passionnément, à la folie ? Lire, mais que choisir aujourd’hui ? Va voir le blog d’Antigone et sa compilation de coups de cœur, une vraie idée de génie !

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Ludo © :

Jean pilonne… C’est son métier.
J’ai jamais lu un livre, pourtant j’en ai vu passer! se vante-t-il en riant avec les copains du foot!

Chaque jour, un camion dépose des caisses emplies de livres que personne n’a voulu lire.
Des romans, des guides sur tout et rien, des livres politiques, des essais, plus rarement des albums… et lui, son métier c’est de regarder passer sur le tapis tous ces bouquins qui n’ont intéressé personne, et sombrer, au bout de la chaîne, dans la grande cheminée qui broie, hache, déchiquette menu, dans le but de recycler.
Quand même, lorsqu’il y pense, il a un petit pincement. Voir défiler toutes ces histoires, tous ces mots, ces espoirs d’auteurs en mal de reconnaissance, ces éditeurs qui ont parié sur le mauvais cheval, ça ne le laisse pas insensible, lui qui n’a jamais écrit rien d’autre que sa déclaration d’impôts et n’a jamais rien lu que le journal qui donne les résultats des matchs du week-end…

Mais ça c’était avant qu’il ne prenne une grande décision !

Depuis deux mois, soit 10 semaines, ce qui, si on retire les jours où il ne travaille pas, fait 50 jours, (parce que si Jean lit peu, il sait compter!) Jean saisit sur la chaîne, chaque jour, un roman au hasard. Ou presque parce que depuis 50 jours, il a eu le temps de se fabriquer des préférences. Il aime les gros, les épais, les prétentieux qui ont du coûter des heures d’insomnies et des litres de sueur devant l’ordinateur de leur auteur, ceux qui ont une couverture simple, sans chichis, sans artifices.
Il saisit donc un roman, discrètement, à l’abri des regards, et en arrache délicatement la page 78. Pourquoi celle-ci ? Il en fallait bien une !
Il la fourre dans le fond de la poche de sa blouse et continue son travail routinier.
Le soir, chez lui, il la déplie, cette page 78, l’ouvre comme on le ferait d’un coffre au trésor et en lit chaque ligne.
Ensuite, il choisit, parmi les mots de cette page, ceux qui pourront rejoindre son œuvre à lui ! Depuis 50 jours, Jean écrit un texte dont chaque mot, chaque phrase, chaque virgule, chaque souffle, est emprunté à une page 78 destinée au pilon…
Il cherche dans cette page le mot ou la phrase qui lui permettra de continuer son histoire. Oh, il ne croit pas qu’il est capable d’écrire un vrai livre, lui qui n’en lit jamais, il n’a pas cette prétention… mais là, il n’écrit rien, il ne fait que sauver des mots, pour leur donner une seconde vie… au moins ces auteurs pilonnés continueront à exister dans son roman à lui.
Parce qu’il a déjà décidé que son roman serait édité, c’est évident. Il ne fait que compiler des phrases qui ont mérité d’être éditées une première fois, alors mises ensemble, elles formeront une sorte de texte parfait.
Et puis il en a déjà le titre, lui aussi parfait : Page 78.

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Les textes publiés sur d’autres blogs :

118 Commentaires

  1. Adele

    @Leiloona : beaucoup aimé ce texte, léger comme un zephyr. J’ai ri du dictionnaire assommant et j’ai ete touchee par l’amour des livres si bien exprimé par la jeune fille.

    • Leiloona

      Ah merci beaucoup Adèle ! 🙂

  2. Adele

    @Nady : Une vigoureuse apologie de la lecture !
    La conclusion sur le coup de pub pour le blog d’Antigone m’a bien fait marrer !
    Et oui, il y en a des bonnes raisons pour lire. Lire pour comprendre ou tout simplement se faire du bien.
    Dommage que d’autres, et mes fils parmi eux, trouvent mille raisons de ne pas lire.

    • Nady

      ROooo merci Adèle pour ton retour 😉

  3. Vénusia

    Coup de coeur pour le texte de Ludo.

  4. Adele

    @venusia : intéressant haïku.
    Je me suis interrogée sur l’identité de cette machine. S’agirait-il d’un lecteur compulsif ?
    Ou d’une véritable machine? J’ai alors pensé au roman Le lecteur du 6h27.

    • Vénusia

      Merci Adèle. J’aime l’idée qu’il y ait plusieurs lectures possibles… Que cela reste ouvert….
      « Le lecteur du 6h27 ». Je ne connaissais pas ce livre. Est-ce que tu me le conseillerais?

      • Adele

        Oui, J’ai passé un bon moment de lecture.

  5. Adele

    @Manue : un texte plein de douceur et de poesie malgre la gravite du sujet.
    Vive la bibliothérapie ! ( et ça existe en vrai)

    • Manue

      Merci ! Oui, Michaël Uras a d’ailleurs écrit un chouette bouquin sur le sujet ! Pour moi tous les mots sont importants, ceux des livres ou des amis …

  6. Vénusia

    @Val: ton texte m’a donné envie de découvrir Paul Luy! J’ai fait mes recherches…. surprenantes! 😉

    • Valérie

      Ah bon? J’ai pourtant inventé ce nom…il existe pour de vrai?

      • Leiloona

        Ah ah ah excellent ! 😀

      • Vénusia

        Non justement. Je n’ai pas trouvé d’artiste portant ce nom… Donc ton texte était plus vrai que nature!

    • Leiloona

      Lien modifié. 🙂

      • Albertine

        Merci 🙂

  7. Josplume

    @Alexandra : Une belle histoire sur nos amis les livres…et un beau « jeu de Mo » pour la chute ! 🙂

    • Leiloona

      Hi hi, oui ! Me suis bien amusée en tout cas ! 🙂

  8. Josplume

    @Manue : Lire pour ne pas sombrer… Manue, que j’aime ta plume poétique et tout en nuance !

    • Manue

      Merci ! Je termine ici et je file voir sur les blogs !!!

  9. Valérie

    @Alex : ton texte me donnerait presque envie de regarder un match de l’om. Avec quoifaut il l’accompagner pour être ainsi transporté dans la nuit?

    • Leiloona

      D’un verre de bon sky …

      ( A consommer avec modération ofkurse.)

  10. Valérie

    @Manue : j’ai le souvenir d’avoir lu un texte de toi avec une funambule, non? Ce dernier est très beau: sombre et plein de profondeur.

    • Manue

      Tu as raison … la funambule est mon autre moi, un personnage largement inspirée de ma réalité …

      J’aime beaucoup le regard de ton héroïne, happée par l’oeuvre d’art au point d’en oublier le temps … comme en lisant !!!

  11. Valérie

    @Tara : un texte très bien écrit sur ce qu’il reste en chacun de ses lectures. Perso je ne retiens jamais les titres et les noms d’auteurs. Mais quand je relisun texte déjà lu les mots, les phrases me reviennent. Ta dernière phrase résume joliment ton texte « Lessence de ce que j’ai lu me constitue. »

    • Tara

      Merci Valérie. Oui les résonances à la relecture, un plaisir…

  12. Valérie

    @Iza :on retrouve un peu la même conclusion que Tara  » A travers les livres devenir soi et écrire sa propre histoire ». C’est bien vrai.

  13. Josplume

    @Tara : Ton texte sonne comme un hommage à tous ces livres qui interviennent dans notre construction.

    • Tara

      Oui hommage aux livres, aux auteurs. La magie de l’interdépendance humaine à travers l’écrit.

  14. Josplume

    @Iza : Du premier jusqu’au dernier, les livres nous accompagnent à un instant de notre vie et jouent leur rôle de bâtisseur et de sauveur. Tu arrives à nous le décrire parfaitement en peu de mots !

  15. Valérie

    @Venusia : Avalés ou lus lentement par un lecteur, s’ils sont ensuite broyés par la machine gardons l’espoir que c’est pour donner vie à d’autres histoires…

  16. Valérie

    @Nady: un texte plein de rythme qui liste les milleet une raison d’ouvrir un livre…

    • Nady

      Merci pour ta lecture Val. Ce passage m’a intriguée dans ton texte : « Elle n’y comprend pas toujours grand chose mais là où il faut être, elle y est » : Lucie n’est peut être pas sensible à l’art plastique et ne ressent donc rien car avec toutes les expos qu’elle voit, difficile de ne rien comprendre, tout est toujours si bien expliqué à côté des oeuvres, pour peu qu’on soit touché par l’oeuvre. Perso la peinture (except les impressionnistes) me laisse indifférente mais je commence à tenter de mieux appréhender certains peintres à travers la passion d’amis que j’accompagne, comme Lucie et sa meilleure amie 😉 ai bien aimé ton histoire

  17. Josplume

    @Vénusia : Un bien bel haïku que tu nous livres là !

    • Vénusia

      Merci beaucoup Josplume.

  18. Josplume

    @Nady : Il y a tant de raisons de lire… Elles changent au cours de notre vie, en même temps que change notre vie. Une éloge qui s’achève sur un joli clin d’œil ! 😉

  19. Valérie

    @Ludo : une idée de roman originale qui doit motiver ton personnage pour aller bosser …une telle usine se trouve pas loin de chez moi..

  20. Josplume

    @Ludo : Quelle belle idée de transformer la triste destinée de ces livres ! Et tu as su l’exploiter avec intelligence. Nul doute que « Page 78 » remportera un grand succès !

  21. Leiloona

    Manue : Une langue puissante en images pour un texte au joli message …
    « de l’oubli naît le désir. » : cette phrase paradoxale m’interpelle énormément …

    • Manue

      Et pourtant … Pourquoi elle t’interpelle ? Raconte.

      J’aime ta Mo, pleine de surprises, jusqu’au bout !
      (attention à toi, le latin, c’est assommant … et la merguez inspirante !!! Tout a un pouvoir dans notre monde !!!!)

      • Leiloona

        L’oubli est une notion négative chez moi, il ne peut pas engendrer une émotion positive.

        Sinon bien entendu que chaque chose a un pouvoir symbolique. Je suis comme les romains : un dieu pour honorer la merguez. Reste plus qu’à lui trouver un petit nom.

  22. Leiloona

    Tara : Comment ne pas partager ton texte ? ♥ Oui, les livres nous constituent.
    Et je dois être une kinesthésique car même si j’ai une liseuse depuis 5 ans, j’ai dû m’en servir 30 h … une poussière pour moi. 😉

    • Tara

      Merci Leiloona. Je vois que tu n’es pas adepte du e-book ! Moi j’ai remarqué que je les lis encore plus vite. Ca incite à la consommation…

  23. Leiloona

    @Iza : Comme me l’a dit Pascale vendredi « Continue, corrige, pense aux lecteurs qui auront le plaisir de découvrir Léna ».
    Alors forcément, ta mention, parmi de grandes pointures (j’en partage pas mal d’ailleurs. 😉 ), me fait rosir de plaisir. Merci.

    • iza

      Corriger, certes, mais sans se trahir ;-). Ton texte est très beau, mais les sorcières peuvent être belles, voir Maléfique que, enfant, je trouvais bien plus belle qu’Aurore. Oui, à quatre ans déjà, je marchais hors des sentiers battus.

      • Leiloona

        Oui … Et j’ai trouvé un bel angle là. Nulle trahison.

        Sinon la phrase du titre est extraite d’un de mes livres cultes : Manon des sources.

  24. Leiloona

    Valérie : Mouhahaha le portrait caricatural et un poil cynique de la blogueuse influente qui demande à son amie de lui servir de prête plume ! 😮 Well … cela me rappelle un peu le fameux Cyrano, non ? 🙂
    Une pointe de jalousie de la part de Lucie ? Qu’elle ouvre un blog ! 😀 Le meilleur n’est pas de garder un trésor pour soi, mais de le partager.

    • Valérie

      Merci pour ton retour. Pour ce qui est de la jalousie…pas du tout. L’idée ne m’a même pas efleuré l’esprit…

      • Leiloona

        Ah. Alors elle pose un regard assez cynique sur sa meilleure amie… Selon moi, du moins.

        • Valérie

          Ah?!!

  25. la fllibust"

    Un voyage turbulent et aérien au coeur des lettres et des mots de photos et de pages écornées, le vent nous emporte et j’aurai aimé voyager encore un peu auprès de la belle « fée », me voici dans son lit, Oups !

  26. la fllibust"

    Alexandra K : Un voyage turbulent et aérien au coeur des mots des livres des photos et des pages écornées, j’aurai aimé voyager encore plus longtemps auprès de la « fée des mots » me voici dans son lit Oups !

    • Leiloona

      Han dans son lit, direct ? Coquine ! 😛

      😉

      • la fllibust"

        Les émoticônes ont l’air souriant ou même clignent de l’oeil, reste à décoder qu’elles émotions ils cachent, mon double commentaire, (double car l’ordinateur ne répondait pas à mon clic « envoyer »), n’a rien de coquin, merci à toi

        • Leiloona

          Pas compris ton commentaire. 🙂

          Y a aucun double message via mes smileys… #perplexe

  27. Leiloona

    Vénusia : J’aime la chute de ce haiku, pour un premier, il est réussi ! 🙂

    • Vénusia

      Merci beaucoup Alexandra.

  28. Leiloona

    Nady : Joli patchwork de tout ce que peut nous apporter la lecture, et effectivement c’est une jolie guirlande d’actions.
    A chaque lecteur son rapport aux livres. (Sans oublier que ce rapport change au fil des âges.)

  29. Leiloona

    Ludo : L’idée est tout bonnement excellente ! J’aime ton personnage qui est un doux rêveur ! Il transforme la boue en or. Sacré boulot : ça lui prendra combien de temps ? 😉

  30. iza

    @Ludo : quelle belle idée ! J’ai adoré ton texte ! Ton personnage aurait aussi pu choisir la page 113, devenue célèbre avec David Vann 😉
    @Amor-Fati : un bel hommage à ce que la lecture fait de nous et ce que le manque de lecture, voire son dénigrement, fait à certains. J’ai bien ri !

  31. Albertine

    @Alexandra : Un bien joli conte au pays d’Oz ! Il est certainement plus pacifique que celui de l’OM …

    • Leiloona

      L’om au pays d’oz ? Pas mal comme titre non ?

  32. Albertine

    @Manue : Outch ! Coup de cœur pour ce texte d’une grande sensibilité. Je partage l’idée que les livres tiennent éloignés de nous les gouffres les plus dangereux.

    • Manue

      Merci à toi ! Les livres sont nos amis !!!

  33. Albertine

    @Tara : Je découvre dans ton texte mon idée première, évoquer les livres qui ont fait de moi la personne que je suis. Le mélange de termes techniques et de réflexions beaucoup plus sensibles est intéressant.

    • Tara

      Merci Albertine.Oui je me suis interrogée sur comment ce mélange de termes un peu techniques et de réflexion allait être reçu. Je vois que ça passe bien avec certain(e)s, tant mieux.

  34. Albertine

    @Iza : De nombreux noms trouvent un écho en moi 😉 !

  35. Albertine

    @ Val : Garder un trésor pour soi n’est pas toujours le pire. Dans une période de surexposition des sentiments sur le net, avoir un jardin secret est une initiative citoyenne 😉 !

    • Valérie

      Assez d’accord.merci Albertine.

  36. Antigone

    Rhooo Nady Oui lire un peu beaucoup passionnément.. C’est gentil ce clin d’oeil !
    Leiloona: j’adore ton texte il est très beau

    • Leiloona

      Merci.

  37. Albertine

    @Nady : Je retiens le très beau  » Lire, respirer, vivre » ! Une belle ode à la lecture …

  38. Albertine

    @Venusia : Les mots entrent en résistance contre le pilon ! Je ne peux que partager leur combat :-).

  39. Albertine

    @Ludo : Un sauvetage raconté avec humour et délicatesse. Page 78, un futur Prix Goncourt 🙂 ?

  40. Vénusia

    @Alexandra: Je vois très bien ce que tu veux dire en donnant cette jolie image image du hérisson!

    • Leiloona

      Mes coups de coeur ressemblent à ces livres hérisson. J’ai deux amis qui me regardaient comme une impie quand je leur prêtais mes livres … une a même décorné mes pages ! (Alors que ces cornes sont précieuses pour moi. 😉 ) Mais depuis, elle aussi corne ses livres, et mon autre ami aussi. Je les ai contaminés, ça me fait sourire.

      • iza

        😉 😉 😉

  41. Lily Rause

    De très beaux textes.
    J’ai aimé le rêve de Mo et la passion de la meilleure amie de Lucie

    • Leiloona

      Merci Lily ! 🙂

  42. Valou076

    @Alexandra K. : un joli rêve, et un bon plaidoyer pour la lecture ! merci pour ce joli moment de lecture.

    @Val : Je me voyais déjà au Palais de Tokyo plongée dans cette accumulation de livres. L’effet doit être impressionnant !

    @Nady : « Lire et t’engouffrer dans un tunnel d’histoires pour apaiser ta solitude
    ou échapper à un quotidien de lassitude,
    A moins que ça ne soit pour dissiper tout sentiment d’inquiétude…. »
    Ce passage m’a particulièrement parlé, ton texte est superbe. Et l »invitation à passer chez Antigone est la bienvenue.

    @Ludo : Quelle belle idée, comme quoi le livre ne laisse personne insensible ! Toi histoire m’a rappelée celle du roman « Le liseur du 6h21 » de DidierLaurent, si je me souviens bien du nom (et de l’heure !)
    Ce roman « page 78 » peut faire un très beau cadavre exquis en tout cas !

    • Leiloona

      Merci Valou ! 🙂

  43. pierforest

    @Alexandra: J’aime beaucoup qu’on me raconte ce genre d’histoire

    @Manue: Ah oui, ces trompe-l’oeil peints sur les trottoirs sont parfois très réaliste.

    @Tara: Tout ces personnages, toutes ces histoires laissent des traces, en effet.

    • Leiloona

      Merci Pierre ! 😉

  44. pierforest

    @Iza: Même vécues par procuration, les émotions sont réelles

    @Val: En te lisant, je me suis demandé si c’était bien une oeuvre de Paul Luy. On ne sait pas toujours pourquoi une oeuvre nous parle plus qu’une autre et c’est encore plus particulier quand on ne connaît pas l’auteur.

    @Venusia: Si peu de mot et tant de livres, quel étrange contraste.

    @Nady: Belle pub à la fin. 🙂

    @Ludo: Quelle approche imaginative. J’aurais aimé en lire une histoire complète, voir l’arrangement des mots, l’évolution littéraire de Jean, son éveil face à de nouveaux mots, sa préférence pour les mots d’un auteur plus qu’un autre, sa recherche frénétique pour retrouver à nouveau cet auteur parmi les livres qui défilent sur la tapis roulant, sa quête pour sauver les mots destinés à une mort certaine. Vraiment, j’aurais aimé.

    • Valérie

      @surtout quand il n’existe pas…je ne sais pas l’origine de cette photo mais si quelqu’un a des infos…merci pour ton retour.

    • Nady

      hihihi t’as vu ça 😉 suis spécialisée dans le marketing 😉 tu n’as pas écrit cette semaine ? merci tout de même d’être passé par là 😉

  45. Vénusia

    @ Manue: Je suis tout à fait d’accord avec Adèle. Et ce concept de bibliothérapie est sympathique. En tous les cas il réussit bien à cette funambule.

  46. Tara

    @ Leiloona : je partage avec Adèle la sensation de légèreté (dans le bon sens du terme) à la lecture de ton texte. C’est délicieusement fluide.

    • Leiloona

      Tara : Je suis contente … tout simplement car l’écriture de ce texte a été laborieuse. Je voulais (pour de multiples raisons que tu connais) le faire léger, sans obligatoirement passer par la musique des mots. Comme vous êtes deux à le souligner, je me dis que j’ai réussi mon objectif. 😉
      L’atelier me sert de laboratoire, je crois ! 🙂

      • Tara

        Chouette !

  47. Tara

    @ Manu : la lecture pour oublier le néant et retrouver la joie de vivre, joli !

  48. Tara

    à Val : La relation toute personnelle qu’on établit avec une oeuvre n’est pas toujours partageable en effet. Mais que c’est bon quand on arrive à le partager ! Belle opposition entre la sensibilité et l’indifférence superficielle.

    • Valérie

      Merci pour ton retour.

  49. Tara

    @ Ludo : belle idée ! Et agréablement exposée. Coup de coeur.

  50. Tara

    @ Albertine : bien sûr le lien avec la pâte à papier, les arbres, bien amené par les yeux d’Eric ! Bel hommage au livre passionnant de Peter Wollheben. Je suis en train de lire « penser comme un arbre » de Jacques Tassin, je le recommande aussi. L’auteur est scientifique, mais le livre est plus philosophique que scientifique.

  51. Tara

    @ Josplume : Lourde charge contre les anges de la téléréalité ! Bonne idée la « convocation ». J’ai quand même été étonnée du lien entre inculture et tatouages. Je ne suis pas tatouée, je n’ai aucun lien avec ça, mais si c’est de plus en plus à la mode, il semble que cela traverse tous les milieux et tous les styles.

  52. Tara

    Ah zut je me mélange les pinceaux, je m’adressais à Amor Fati ! Mes excuses à vous deux pour la confusion.

  53. Tara

    @ JosPlume (pour de bon) : ce texte particulièrement construit et rythmé par la sonorité d’une même rime tout du long m’a impressionnée sur la forme, et touchée sur le fond.

    • Josplume

      Toucher le lecteur : n’est-ce pas l’un de nos but quand nous écrivons ? Je suis touchée à mon tour de ton commentaire ! Merci Tara 😉

  54. Tara

    @ Amor Fati : (je reprends mon commentaire adressé par erreur plus haut à JosPlume) Lourde charge contre les anges de la téléréalité ! Bonne idée la « convocation ». J’ai quand même été étonnée du lien entre inculture et tatouages. Je ne suis pas tatouée, je n’ai aucun lien avec ça, mais si c’est de plus en plus à la mode, il semble que cela traverse tous les milieux et tous les styles.

    • iza

      en effet 😉

  55. Vénusia

    @Tara: un texte qui emprunte à la science (psycho-neurologique) pour aboutir vers une dimension plus existentialiste. Beaucoup de lecteurs s’y reconnaîtront. Ce texte honore les livres.

    • Tara

      Merci Vénusia. Je suis sensible à ce commentaire.

  56. Vénusia

    @Nady: mille façons de lire, toutes respectables. Joli compliment pour Antigone. J’approuve!

    • Nady

      Merci pour ton retour et contente que tu approuves le compliment pour Antigone. Cette nana a une plume qui me touche c’est vrai et maintenant des idées de génie pour m’aider à choisir un livre alors je partage 😉
      Toi tu es la reine de haïkus ! toujours réussis et reflétant parfaitement le cliché à chaque fois ! congrats !

      • Vénusia

        Merci Nady.

  57. Vénusia

    Ouh il y en des références! Certaines que nous partageons, D’autres inconnues… Et cet atelier est déjà un grand pas pour « écrire sa propre histoire »…

  58. Nady

    @Manue : Gosh ! un texte d’une grande sensibilité, comme tu sais si bien les écrire ! Profondément touchée par tes mots et particulièrement la dernière phrase et j’imagine que tu sais pourquoi 😉 (je ne peux pas faire un copier / coller de passage et trop fatiguée des vacances pour comprendre et le faire lol) Bravo!

  59. la fllibust"

    Manue : Danser sa vie sur un fil, juste au bord du tourbillon et tenir bon.

    Tara : Toute la vérité émotionnelle qui sert à évoquer nos souvenirs. Je me suis souvent posée la question « combien de livres ? » sachant que l’on lit parfois plusieurs fois un même livre ….

  60. la fllibust"

    Iza : et se sentir moins seule se fondre dans l’histoire ou accepter une remise sur les rails, les livres nous nourrissent, nous font réfléchir, nous encouragent.

    Val : On en oublie cette oeuvre captivante de Paul Luy, tellement la narratrice semble excédée par l’attitude de Lucie.

    Venusia : Nous avons pensé à recycler les livres, rien ne se perd.

    Nady : Lire bien sûr, tout, lire et prendre des notes, s’instruire, se laisser bercer, mais lire !

    Ludo : Excellent ! quelle bonne idée, toutefois j’espère bien que les livres d’où il extirpe cette page 78 soient bien pilonnés ou alors c’est pour cette raison que je ne parviens pas à terminer les mémoires d’outre tombe.

    • Valérie

      Ah c’est marrant,tu as le même ressenti que Leiloona. Ce n’était pas mon idée. Du coup…ma copie est à revoir.

  61. Nady

    @Alexandra : un joli rêve. J’ai décroché sur le dernier paragraphe mais il me manque certainement des références et avec des vacances perlées sur le mois de mai j’avoue ne pas avoir regardé une fois la TV et ai certainement raté l’OM et le PSG 😉

    • Leiloona

      Des références ? Ah ben non … si ce n’est qu’il y a eu un match que j’ai suivi par procuration, que j’ai eu envie de jouer dessus, et de faire un jeu de mots entre le magicien d’OZ et ce match avec l’OM. 🙂 Tu vois, nulle référence compliquée il y a.

  62. La plume et la page

    @Alexandra K: j’aime ces histoires invraisemblables!

    @Manue: très joli texte! avec un beau message!

    @Tara: que nous reste-t-il d’un livre lu quelques années après?… bah plein de choses en fait; mais plus ou moins déformées par le temps.

    @Iza: que de héros auxquels nous nous sommes identifiés!

    @Val: c’est vrai que l’art contemporain n’est pas accessible à tout le monde. J’y suis bien souvent hermétique.

    @Venusia: joli haïku!

    @Nady: je ne me lasse pas de te lire.

    @Ludo: j’aime bien l’idée de donner une seconde vie aux mots.

    • Nady

      Touchée je suis 😉

    • Valérie

      Comme tu dis…

    • Leiloona

      @ La plume : La magie de la fiction ! 🙂

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