Hop ! Merci d’avoir été au rendez-vous ! Un plaisir de voir que vous êtes toujours là, et de vous lire également !
On se retrouve samedi prochain, pour la publication des textes ?
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Je découvre à l’instant cet atelier d’écriture! Un courriel dans ma boîte…
C’est la première marche vers l’écriture ! 🙂 Bienvenue !
Merci Alexandra. Pour ces rendez-vous, donnés. Superbe photo ! Je ne connaissais pas du tout … Mais cela me fait penser à mon rêve de la nuit dernière, une histoire jolie, une histoire un peu bateau, d’ailleurs, qui se passait du côté de chezTarbes, oú même du côté de chez Pau – pas de chance – vu l’accent de mes gens rêvés. Je vais donc coucher tout cela sur le papier et même sur ma tablette, pour samedi, car il n’y a pas encore le feu au lac. 🙂
Bonne semaine
Tu n’es pas loin, c’est un lac dans le Gers !
J’avais pisté juste … merci et à samedi
🙂
Merci Leiloona de nous offrir cette fenêtre sur le monde merveilleux de l’écriture ! Ça permet de respirer à pleins rêves !
C’est très généreux de ta part.
Bonne année.
Le plaisir est vivement partagé, Adèle ! 😀
Très bonne année également !
Merci de relancer l’atelier en ce début d’année. C’est chouette.
Avec un peu de retard, voici le texte pour la proposition 440:
https://jacou33.wordpress.com/2024/01/14/dans-les-bras-daphrodite/
Sourire…
Haïku rieux d’Avril :
Un tout petit fil
Près de Vénus est tombé
Oui, c’est le dernier !
https://i.etsystatic.com/16394533/r/il/53887d/2937728163/il_1588xN.2937728163_3hw0.jpg
Botticelli, Birth of Venus
À te relire
Lothar
Ah l’atelier est de retour !
Bonne nouvelle en ce début 2024.
Merci Alexandra
bonjour
ici ma participation
Merci, pour cette proposition
Jak
http://jakdigiscrap.canalblog.com/archives/2024/01/19/40179294.html
C’est beau, plein de mélancolie. Un beau poème fort bien écrit qui se lit au rythme de l’eau. Bravo
merci pour ce partage
ma participation ici:
http://jakdigiscrap.canalblog.com/archives/2024/01/19/40179294.html
Le calme avant la tempête
Onze heures, dernier coup d’œil, dernière vérification. Que la surface lisse du lac m’apaise, qu’elle me donne force et sérénité avant la folie du coup de feu. Le calme avant la tempête, cette expression n’est définitivement pas galvaudée.
Soyons méticuleux, soyons organisés. Comme tous les jours, je passe en revue la salle, chaque détail, chaque recoin, chaque poussière.
Les tables sont dressées, les chaises disposées, les verres alignés. Sel, poivre, serviette en papier, couverts. Un sourire se dessine sur mon visage tendu : cette fois, tout est conforme. A. a retenu la leçon et fait attention aujourd’hui. J’en suis aussi satisfait que reconnaissant. D’aucuns trouvent que je suis trop sévère parfois avec mon équipe. Pour autant, je n’admets pas l’erreur répétée. Elle est humaine, et jamais je ne remettrai en cause ce principe. Toutefois, une fois expliquée, sa répétition n’est plus acceptable.
Poursuivons, le temps s’écoule si vite. Notre image ne peut souffrir de maladresse, encore moins de manque.
Table 12, c’est celle de Monsieur et Madame L., des habitués qui arrivent toujours trente minutes avant les autres, juste à la sortie de la messe. Une coutume qui dure depuis mathusalem. La carafe posée en amont pour que l’eau ne soit pas trop fraîche, le ricard pour lui, la suze pour elle dès qu’ils s’installent. Ce rituel ne souffre aucun accroc.
Enfin les plexiglas de protection ont-ils été nettoyés ? A l’évidence, le travail a bien été réalisé. La surface lisse du lac s’y reflète, mon regard se perd un instant dans de doux songes.
Serein et déterminé, je suis prêt, nous sommes prêts à vous offrir un moment inoubliable.
B.
Ce sont ces détails qui donnent envie d’y revenir, encore et encore.
Joli. Le rythme du texte va fort bien avec la détermination du maître d’hôtel. On reste sur une impression de rigueur et aussi deconfiance.
Petit Déjeuner Au Lac De Marciac
« 9 heures du matin, au petit déjeuner, attablés en amoureux l’un en face de l’autre, sur la terrasse qui prolonge la péniche, baignée dans une douce musique d’ambiance. De chansons jolies … »
– Tiens, Bobonne ! Parlent d’un truc dans l’journal. J’pense que tu dois être bien atteinte, toi. Y’a pas d’erreur. Écoute ça : C’est le … syndrome mé … tabolique … dangereux, 180 000 morts par an ! Ça alors, c’est tout à fait ça ! Augmentation du tour de taille, plus de 88 cm pour les femmes. Une bagatelle pour une grosse barrique comme toi ! Plus besoin de balance, qu’y disent, un bon vieux centimètre et basta ! De la pression artérielle : ça aussi, tu l’as. Voilà ce que c’est de toujours me gueuler dessus à longueur de temps … Mais fais pas ces yeux vagues … on dirait une baleine à l’étal !
– Oui, … je crois !
– Taux de sucre et de graisse importants. Ça t’fait la peau dure. Avec tous ces gâteaux et toutes ces glaces que tu t’ goinfres, heu, ce serait pas étonnant. Et pas beaucoup de cholestérol. Hein ?… Ah ! … Ouais, beh tu t’en es bien vantée l’ôte fois au Père Jean. Hé ben, ça, c’est pas bon ! Pas bon du tout ! Non … Mais çà … çà y disent que faudra te bouger le train, et sortir de ton immobilement, et faire du jogging.
– Oui, … je crois !
– Ah ! … Elle chante bien Mireille Mathieu. Et belle en plus, écoute ! Qu’est-ce tu racontes Léon ?
– Ouais … un truc dans l ‘…
– Ah ! Je croyais que tu lisais ton canard. Bouffe donc ! Tiens, passe-moi le pinard !
…
Lothar
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https://lotharquejamaisfr.files.wordpress.com/2024/01/image-76.png
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Vous pourrez lire la réponse complète au défi ici :
https://lotharquejamaisfr.wordpress.com/2024/01/19/petit-dejeuner-au-lac-de-marciac/
Bonne lecture
🙂
Je passe mon tour cette semaine mais je souhaite un bon atelier à tous !
Il est bon souvent de remplacer le mot échec par celui d’expérience. Gérald, cadre cinquantenaire à la Gontran SA. France, et au célibat assumé, eut l’idée de prendre une année sabbatique à l’occasion d’un héritage coquet, aussi lointain que peu larmoyant. Il monta une affaire, comme on dit, en l’occurence un restaurant dans une Bretagne qu’il connaissait peu, mais qu’il avait analysée, marketing oblige, comme région prometteuse de clientèle bobo à revenus conséquents.
Il l’appela « Le 23 » du numéro de la rue ; un nombre premier, ça sonnait bien et ça faisait branché. Accro à Top Chef et Tous en Cuisine, il créa une carte qu’il pensait dans l’air du temps : la volaille revisitée, la carotte réinventée, une farandole de desserts inspirés par Rothko… Au bout de deux mois, la clientèle restait rare, composée seulement de touristes refoulés d’autres établissements et qui réclamaient des plats régionaux. Alors Gérald, après avoir questionné Chat GPT, changea non seulement sa carte, mais aussi son enseigne. « Aux 23 Binious » fut ouvert avec galettes saucisses bigoudennes et lait ribot. Mais ce fut une nouvelle déconvenue cuisante (si on peut dire cela d’un restaurateur), car l’essentiel du tourisme local devenu asiatique au fil des semaines, regardait la carte avec une certaine perplexité. Il refit son menu, repeignit une nouvelle fois son calicot : ainsi naquit « Les 23 Pagodes de Jade » proposant canard de cent ans aux pousses de bambous et thé au jasmin parfumé à la rose à volonté. Rien n’y fit. Les tables demeuraient désespérément désertes. Il essaya alors une après l’autre toutes sortes de nouvelles formules ethniques, aidé par son adorable chef pakistanais Jamal qui s’adaptait docilement aux multiples changements de son patron. Se succédèrent avec les mêmes déboires « Aux 23 Sombreros», « Les 23 ukulélés de Bikini», « Le 23ème rugissant de Patagonie »,… Rien n’y fit.
Au bout d’un an d’insuccès, Gérald réintégra la Gontran SA. France, délocalisée depuis dans une banlieue isolée de Tours. A l’heure du déjeuner, dans le restaurant d’entreprise surpeuplé, son regard s’attardait toujours sur tous ces gens bruyants, discutant, rigolant, venus là manger sans se poser de question. Une habitude, un rituel. En attendant qu’une place assise se libère, et portant maladroitement sur son plateau l’assiette de côtes de porc salsifis et le yaourt fraise « avec vrais morceaux », il ne pouvait s’empêcher de penser : « C’est quand même plus facile de remplir une salle de restaurant avec des convives qu’on prive de leurs choix ».
Il y a toujours deux types de clientèle. Les réguliers qui vont souvent reprendre les mêmes plats et les clients d’occasion qui viennent pour découvrir autre chose et qui veulent une expérience particulière. Difficile d’avoir les deux et à moins d’avoir une grande renommée, il est souvent plus rentable de compter sur une clientèle régulière, même si pour un Chef, c’est moins motivant.
Excellent. C’est tellement toi et ton humour ce texte. Je suis toujours aussi fan.
À trop vouloir satisfaire les autres, on s’oublie soi-même. Excellent texte.
Bonjour,
Voici ma contribution pour la semaine:
https://floconsdebonheur.wordpress.com/2024/01/20/premier-amour/
Un texte juste et bien écrit. Bravo. Cet homme qui veut rendre grâce aux personnes qui ont compté dans sa vie a, j’espère, aussi conscience de l’importance qu’il a dû avoir dans celle des autres.
Je crois qu’il allait m’être impossible de m’asseoir.
La terrasse était vide.
Les tables étaient dressées. Pour deux, pour quatre. Pour gens accompagnés.
Moi, j’étais seule avec toi, toi dans ma tête, dans mon corps, à chacune de mes respirations, toi si chère à mon cœur, toi si désespérément absente aujourd’hui.
Tout ce temps devant moi sans toi. Tout ce temps qui me laisse épuisée, tarie de mots et de pensées, de sentiments qui veulent sortir, de ces cris qui hurlent en silence, de ces larmes qui coulent à l’intérieur.
Il n’existe pas dans les restaurants de table pour les gens seuls, ceux qui veulent juste s’asseoir pour regarder la risée effleurer l’eau et sentir le soleil réchauffer leur peau. Et puis se souvenir.
Pour se donner la force de continuer, l’énergie de sourire, la grâce d’admirer le souffle du vent.
Et sentir son cœur battre. Encore.
C’est toujours un peu triste d’aller seul au resto. Il devrait y avoir des tables désignées pour gens seuls, où quand on s’y installe, cela signifie que n’importe qui peut venir s’asseoir avec nous pour le repas.
Merci pour ce texte délicat. J’aime vraiment. Beaucoup d’émotion à sa lecture. Les restaurants, même bondés, accentuent les impressions de solitude.
Très beau texte. Et la conclusion et tellement vraie.
Bonsoir, bonsoir
quel plaisir de retrouver les noms connus et découvrir les inconnus!!
Que d’eau, que d’eau
de l’eau plate
un fleuve, un étang
un lac
de l’eau plate
dans la carafe aussi
pas une ride
un ridelet
un tourbillon
le calme
plat !
la vie n’est pas un long fleuve tranquille
où sont les bulles ?
Bulles d’air
de vie
de BD
qui nous explosent au visage
nous font rire
ou pleurer,
hurler parfois
où sont les vagues ?
les embruns
perles d’eau
qui lavent
l’intérieur
l’extérieur
qui douchent
postillonnent
et bouillonnent
Où sont les brisants
à éviter absolument
frôler
contourner
escalader parfois
y attendre les secours
au secours
au secours
de l’eau plate !
Vive les bulles !!
J’aime beaucoup mots rythme tout … ce que j’adore
Moi, cette semaine, j’ai bullé en BD
Mais cela ne passe pas … ici. Doit avoir comme une arête. Dans le plat, à plat.
Comme quoi … suffit pas de dire…
Merci
🙂
J’adore !!! C’est vrai, rien de mieux que les remous de la vie
Super rythme !!!
Vive les bulles !
Les bulles, c’est la vie !
Champagne !
Un texte plein de peps et d’humour !
Excellent ! J’adore ! Le rythme, l’humour, les mots… Bravo.
Bonsoir. Voici mon texte. Bonne lecture et belle soirée.
Les flots semblaient enfin plus calmes,
Un peu de répit après ces dernières tempêtes
Qui l’avaient laissée pantelante.
Son embarcation lui semblait fragilisée,
Le toit percé de petits trous
Et le fond légèrement branlant.
Le reste faisait le job,
Cacher les faiblesses
Et montrer une belle façade.
Mais le voyage ne touchait pas sa fin,
Il lui fallait encore quelques efforts
Pour enfin gagner la rive…
Et pour une nouvelle vie j’espère ! Jolie métaphore !
La métaphore en dit long. Ce parallèle s’arrête sur une note plutôt optimiste. Un joli texte à la sensibilité en filigrane.
Merci beaucoup
Bon dimanche à tous, voici ce que m’a inspiré la photo de l’atelier 441
https://jacou33.wordpress.com/2024/01/20/la-belle-garonne/
Bravo pour ce poème ! Superbe. L’absence de ponctuation (comme Apollinaire…) lui donne une poésie et une fluidité, comme si on rêvait devant l’eau d’un fleuve.
Merci pour la comparaison. C’est mon amour de ce fleuve couleur « caramel » ainsi l’a écrit Bernard Clavel, et ce phénomène spectaculaire, par grande marée, « le mascaret », qui m’ont inspirée.
Avec un peu de retard…
Et why not !
– Ah ben bravo !… Non mais des fois !… Je rêve !…J’y crois pas !…
– Ben quoi ? Qu’est ce qu’il y a mon sucre d’orge ?
– Qu’est-ce qu’il y a ? Oh… Non… Mais… T’es débile ou quoi ?
– Ben quoi ? C’était pour te faire plaisir, ma petite lapine.
– Ecoute mon gars, écoute bien ce que je vais dire, ouvre en grand tes espagnolettes à cérumen : plutôt crever que de m’assoir ici !
– Ben quoi ? C’est la vue que t’aimes pas, ma bichounette d’amour ?
– Oh ! Pétard ! Mais en fait t’es limité du bulbe comme garçon… Déjà que j’avais remarqué que t’étais pas Brad Pitt, mais je vois qu’en plus t’as le QI d’un tournevis ! C’est bien ma veine, tiens ! Elle est nulle la vue ! Tu comprends ou je parle trop vite pour ton cerveau en guimauve ?
– Ben quoi ? Je croyais que tu aimais la mer, mon petit calisson moelleux.
– Ah ouais… J’aime la mer ! Mais dis-donc Einstein, quand t’es au bord de la mer tu vois les arbres de l’autre côté ?
– Ben quoi ? Euh… Non, c’est vrai qu’on voit pas les arbres de l’autre côté, mais si on ferme les yeux on entend les vagues et les mouettes, ma petite fouine des Balkans.
– C’est sûr ! Et même que quand tu me parles trop près mon pif se croit à marée basse… D’ailleurs tu ferais bien de macher un chewing-gum… Oh et puis arrête de commencer tes phrases par « ben quoi »…
– Ben quoi ?… Euh, pardon ma belette sautillante…
– Et puis arrête avec tes surnoms ridicules ! Quand on s’est vu au speed-dating, tu es bien d’accord que je t’ai parlé de voyage dans les îles ? Et que tu m’as dit que si je prenais ton 06 on passerai des jours et des nuits nus sous les cocotiers ?
– Ben… pardon… oui c’est vrai que j’ai dit çà, ma poussinnette argentée.
– Et tu veux que je me foute à poil ici !
– Ben… enfin… euh… c’est-à-dire…
– Tu finis ta phrase s’il te plait ?
– Ben… un petit peu, oui, un tout petit peu si tu veux bien, ma sauterelle dorée.
– T’es sérieux ? T’es vraiment sérieux ? Non mais je vais pas me foutre à poil devant tout le monde quand même !
– Ben… ça risque rien, au contraire… y’a des gens qui vont arriver tout à l’heure… mon petit moineau tendre.
– Attends !! C’est quoi cette histoire ? pour notre premier diner tu m’emmènes dans une soirée échangiste ?
– Ben quoi ? C’est pas moi, c’est la production qui a décidé, mon roudoudou au caramel !
– Ah bon ! C’est la prod qu’a tout prévu ? (Eh merde ! Je me suis même pas épilée ! Tu pouvais pas le dire avant que c’était la suite de l’émission ?) Elles sont où les caméras ?
– Ben… là, puis là, et là, au fond du saut à Champagne, ma coquillette fondante.
– (Merde, merde, merde… ). Oh, mon… Gontrand, euh non… Gérard ! Comme cet endroit est ravissant, c’est encore mieux que la Réunion, les cyclones en moins ! Tu es vraiment merveilleux mon étalon poitevin ! Comme je suis heureuse ! (Et tu crois qu’il va y avoir Brandon, Kevin, John et … ohlala… JASON !?!?)
– Ben… bien sûr qu’ils vont arriver, c’est la soirée « Bataille de strings sur la Charente », ma petite ficelle à rôti.
– Ah ! Oh ! AHAHAHAHA ! Ohlalala ! Mon Germain, euh non… Gérard d’amour, mon petit ange tombé du nid, comme je suis heureuse d’avoir vécu cette expérience de « L’amour est dans le marais » et d’être là avec toi…
Voix off : « Gérard et Stéphanie, deux âmes sensibles, deux être perdus en manque d’amour, deux cœurs meurtris par les déceptions de la vie, grâce à « L’amour est dans le marais » se donnent une dernière chance d’être heureux… ensemble ! Cette première soirée va-t-elle confirmer ce que nous pensons tous déjà ? Les papillons vont-ils envahir d’amour chaque millimètre cube de leurs intestins ? Nous le saurons après une courte pose ! A tout de suite »
Ah oui, le décryptage de la TV réalité, c’est brut de décoffrage et ça fait pas rêver ! C’est pourquoi je préfère m’abstenir de regarder.
Un vrai texte-realité, on s’y croirait !