Veuillez m’excuser, je n’ai pas eu le temps la semaine dernière de mettre une photographie. Mais voici la nouvelle ! Bienvenue aux nouveaux !
Atelier d’écriture 385
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- Le Défi du 20 – Adrienne - […] photo vient du jeu de Leiloona, la consigne du défi du 20 vient de chez Catichou, qui demandait de…
Et du coup on publie pour lundi ou…?
Juste pour savoir 😉
Nous deux nous tenant par les pieds
Nous nous savons partout chez nous
Sur la rampe, sur l’ascenseur
Dans notre jean et nos baskets
Dans notre centre commercial
Dans les yeux vagues de la foule
Les petits et grands magasins
Toi en Ad*d*s et moi N*ke
L’amour n’a rien de mystérieux
Nous sommes l’évidence même
Les amoureux se voient en nous.
(le lecteur aura reconnu le modèle, Paul Eluard)
Lundi. 😉
Bonsoir,
Voici mon texte (avant d’oublier de le poster).
Bonne lecture
Qu’est-ce que l’amour en 2020 ?
À l’heure de ce grand bal masqué, pas facile d’oser aller vers l’autre,
De deviner qui il est juste par un échange de regard.
Privé de sortie, de « tu veux aller boire un verre » ou de « et si on déjeunait ensemble », les codes doivent se réinventer.
Alors que ce soit par devinettes ou part écran interposé :
Et si on en profitait pour revenir à l’essentiel, au premier échange sans (geste) barrière ?
Et si on laissait tomber le visuel pour explorer les autres sens ?
Et si c’était tout simplement garder sa différence et s’enrichir de celle de l’autre ?
Bonjour, ma participation à l’atelier d’écriture, est ici ,https://janickmm.wordpress.com/2020/11/22/5445/ ou là
Sans doute son regard noir, un peu de chien battu, insistant et incitant à me faire comprendre qu’il ne lâchera rien.
Je suis prévenue.
Le sourire est rassurant.
On s’engage. On engage la conversation de politesse, de courtoisie.
Tout de go !
J’ose un sourire. Mettre à l’aise. Me détendre.
Sa main prend la mienne, vrille doucement mon bras sur mes reins et m’attire vers lui.
Possession. Aucune résistance.
Je m’offre à lui comme un cadeau.
Il m’emballe.
L’escalator est vraiment en panne, on s’en fout.
Nos pieds s’escaladent en cascade, s’arriment, se rassurent..
L’escalator est en panne, c’est tant mieux !
Bonsoir,
Elle saute, saute
ce matin elle a enfilé
les bonnes chaussures
elle peut sauter
par la fenêtre
enjamber
ce montant de bois.
Elle saute !
Retombe sur ses pieds
pas de talon haut
pour la gêner
elle a fait le bon choix
les stilettos
pour une femme
c’est une prison de plus.
Un jeans, des baskets
la vie au coin de la rue
retrouver un autre jean
d’autres baskets
seule la couleur change.
Elle saute, saute
à pieds joint
à cloche pied
joue à la marelle
elle a marre elle
elle vit
court.
oups..à pieds joints!!
Pas de halte dans la montée des marches du désir ! Qu’importe les saisons et les années, on trouvera toujours un moyen de commencer.
Aux siècles derniers on se frôlait timidement avant de consommer.
Nos enfants ont eu plus de liberté mais ils ont dû apprendre à se protéger.
Cette année, mon ado de petit fils découvre que les battements de son coeur s’accélèrent à chaque fois qu’il croise Justine. Elle arrive même à hanter ses pensées. Il a bien tenté un baiser l’autre jour, à la sortie du collège sur la pause de midi mais avec les masques c’est compliqué et une dame en passant leur a dit que ce n’était pas du tout conseillé. « Un geste barrière à rajouter sur les affiches qui décorent nos villes ! » a-t-elle même crié : “Ne pas s’embrasser sur la bouche masqués ! C’est incroyable que personne n’y ait pensé”, a-t-elle continué.
Du coup les gamins ne savent plus comment se comporter, déjà qu’ils se sentent un peu gauche avec leurs mains. Je leur ai soufflé une idée, celle de se frôler les pieds, discrètement, comme si de rien était, là, dans un couloir ou sur les marches d’un escalier. C’est vrai, je n’ai pas pu m’en empêcher, parce qu’il m’est difficile de croire que notre jeunesse ne puisse pas aujourd’hui profiter de ces instants délicieux de contact qui ont un goût de miel, indispensables et salutaires quand on découvre l’amour.
Les contenus de nos textes sont proches. J’aime beaucoup tes interrogations Céline.
Bonjour Alexandra Je reviens après une grande pause. Je mets mon lien ici j’espère que tu le trouveras. J’ai programmé pour demain matin.
avec le sourire
De palier en palier
nos pieds en escalier
jouent l’ascension de notre attirance
Nos corps posés se crochent à la rampe complice
je penche alors vers ta bouche
où s’expose le baiser tant désiré
Bonjour Alexandra et bonjour à toutes et tous,
Voici ma participation,
Sa basket frôla la mienne. Elle était assise à côté de moi dans ce bus qui nous emmenait à Paris dans le cadre de la journée internationale du musée.
Elle frôla mon épaule, mon bras, ma main, j’étais ému et ça me faisait comme des papillons dans le ventre et un peu plus bas aussi.
Sa basket montait, descendait le long de mon mollet, c’était grisant, je me laissai faire. Le voyage me parut trop court.
A la descente du bus garé pas loin du Louvre, je lui pris la main pour la première fois. Je regardai ses yeux assortis à son pull et ses baskets, comme elle était belle. Les papillons dans mon ventre se remirent à danser.
Devant la Vénus de Milo, je l’embrassai pour la première fois.
Basket contre basket nous marchions vers notre première histoire d’amour adolescente
Bonjour,
Voilà ma participation:
Le nouvel uniforme
Dans le collège(puis lycée) privé catholique où je suis allée au d début des années 80, il y avait un uniforme strict : jupe bleu marine, chemisier et chaussettes blancs
Jusque un certain âge, on mettrait par dessus une blouse bleue claire, la même pour tous, très seyante… Pour le reste de l’uniforme, on l’achetait nous-mêmes et lorsque les blouses sautaient on voyait la différence entre ma jupe marine Prisunic (remplacé par un plus chic Monoprix) et les jupes de « marque. » Ce n’est pas moi qui choisissait mais je me fichais un peu de ce que je portais jusqu’à un certain âge où j’ai demandé quelques vêtements à la mode pour m »habiller hors école, Si l’uniforme ne gommait pas toute différence, il les réduisait quand même beaucoup, Quand nous sortions, nous étions toutes(il n’y avait des garçons -et peu- qu’en terminale) en bleu marine(jupe) et blanc . Pendant les hivers rigoureux 87 et 88, nous avons eu le droit de mettre des pantalons. Ma ville est passée dans Paris Match à cause d’un grave incendie où l’eau des lances à incendie gelait immédiatement.
Aujourd’hui que je suis passée de l’autre côté de la barrière, je vois le nouvel uniforme : des baskets de différentes couleurs mais quasiment toutes de la marque à la virgule . Même les bébés dans les transports en commun ont cette marque. Je sais bien qu’il y a des copies de marque mais quel budget pour des petits qui changent si souvent de taille !
Il y a aussi la marque aux trois bandes dont j’ai un short que j’ai depuis quinze ans et des copies : des baskets et des joggings, l’uniforme des « sportifs » devant « Beinsport » Il y a plein d’autres marques sportives qui uniformisent les pieds de la ville. Dans l’ensemble, les marques se sont démocratisées puisque les personnes que je croise n’ont pas toutes a priori les moyens de…Ou alors les demandes des enfants sont satisfaites quoi qu(il en coûte ?
Merci et bonne journée
Oh, c’est joli
Merci
PS : j’en ai profité pur relire quelques poèmes de Paul Eluard, ça fait du bien
Céline,
La découverte de l’amour en 2020 ou à la fin des années 80 est-elle si différente ? L’époque change mais les émois restent toujours les mêmes non ?
Je me reconnais bien dans ce texte
C’est fou comme des baskets donnent un sentiment de jeunesse ! Enfin du haut de ma cinquantaine, je le vois comme ça ! Avec mes baskets roses, parfois, j’ai 15 ans
Ah se frôler les pieds, se découvrir petit à petit, le plaisir de l’attente !
M’est avis que geste barrière ou non, les premiers baisers auront toujours la même saveur
Ah l’amour, le désir ! Comme quoi, ce thème revient ! Comme ça fait du bien
Oh, j’ai connu cette blouse bleu clair, souvenir du collège ! Et ce fameux hiver 87, je me souviens, je traversais la ville à pied pour aller au lycée, les bus ne passaient plus !
Les marques pour les jeunes sont un signe d’appartenance à un groupe non ?
Bonjour à tous, mon texte est à retrouver ici: https://marinadedhistoires.wordpress.com/2020/11/23/la-symphonie-de-lescalator/
Ou bien ci dessous
La symphonie de l’escalator
Niky – Et bé dis donc, c’est pas simple de jouer du piano !
Didas – Tu l’as dit ! Surtout un morceau à quatre pieds !
Niky – Bah oui, on s’emmêle les arpions, on se piétine les panards …
Didas – On s’bousille les ripatons !
Niky – Pourtant, Bottines et Sandales y arrivaient super bien tout à l’heure
Didas – Ouais, mais elles, c’est des pointures, on peut pas se mesurer
Niky – Pouce ! C’était un sol dièse là ! T’as trébuché !
Didas – Ça t’botterait pas d’faire des claquettes, plutôt ?
Niky – Ça marchera pas, on n’a pas de talons ! Des claquettes pour les sourds à la rigueur …
Didas – Hé Ho ! On finit par un accord en si mineur, tu t’es planté !
Niky – Un accord sur un piano désaccordé, c’est pas l’pied, moi j’dis…
Lou Boutin qui passait par là, injurie Niky et Didas, il réclame le silence
Didas – Il va pas nous soulier, lui !
Niky – De quoi qu’i semelle, l’escarpin !
Didas – Il s’entend plus claquer du talon, ça l’déstabilise…
Niky – Fais-lui un pied de nez, ça va le talquer !
Didas – J’ai pas de nez !
Niky – Ah, oui, c’est vrai …
Didas – Bon, on la reprend cette Symphonie de l’Escalator ?!
https://lilousol.wordpress.com/2020/11/23/bricabook-chez-alexandra-atelier-decriture-385/
chez mieux avec le lien
avec le sourire
AVEC UNE CEINTURE qui se nouait derrière
perso, je ne suis pas trop groupe
un amour muséal, j’adore:
Bonjour, vous trouverez aussi ma proposition sur https://photonanie.com/2020/11/23/brick-a-book-385/
Nous étions là, pied-dessus pied-dessous en train de nous disputer une fois de plus.
Il me reprochait de toujours tout prendre au pied de la lettre! Il venait encore de râler parce qu’on ne se voyait pas assez. C’était un comble alors que je travaillais d’arrache-pied pour terminer mon mémoire, et que lui me demandait toujours de faire des trucs au pied levé en s’impatientant si je n’y arrivait pas.
Il commençait sérieusement à me casser les pieds! S’il continuait, j’allais mettre un coup de pied dans la fourmilière et il trouverait quelqu’un d’autre pour prendre son pied. Ce n’était pas qu’il soit bête comme ses pieds, non il était même plutôt intelligent et sympa comme mec mais avec lui j’avais souvent l’impression d’avoir les deux pieds dans le même sabot. Au début je trouvais ça rassurant qu’il prenne des initiatives et me guide mais depuis plusieurs semaines je me sentais foulée aux pieds et j’étouffais, pieds et poings liés, sans aucune liberté.
C’est en marchant sur la pointe des pieds que je lui ai suggéré de lever le pied dans notre relation. Cette fois j’avais mis les pieds dans le plat et il me reprochait déjà de le mettre au pied du mur, de ne plus l’aimer… Je le voyais perdre pied petit à petit.
Dire que je le mettais sur un piédestal depuis six mois alors qu’il n’était finalement qu’un géant aux pieds d’argile. En fait il me marchait sur les pieds depuis le début et je venais seulement d’en prendre conscience.
Là je voyais dans ses yeux qu’il était blessé. Je ne l’avais pas habitué à me rebeller. Il ne savait plus sur quel pied danser. Il avait du mal à admettre qu’il s’était tiré lui-même une balle dans le pied en me rabaissant ainsi et sa seule défense était de dire que je m’étais probablement levée du pied gauche! Il ne se remettrait jamais en question, j’en étais certaine à présent.
Il fallait trancher dans le vif et prendre mes pieds…euh mes jambes à mon cou non sans lui avoir souhaité en ricanant de trouver une autre chaussure à son pied .
Oui, c’est tant mieux ! 🙂
Les baskets, portés comme une liberté retrouvée ! Joli !
2020 : La découverte de l’autre à réinventer, c’est une belle chose ! 🙂
Les amoureux sont partout chez eux, c’est très vrai et c’est joliment dit.
Les premiers émois restent aussi délicats à vivre avec ou sans masque. Mais oui, tu as raison, il faut réinventer l’amour en 2020.
La première histoire d’amour… celle dont on se souvient longtemps 🙂
Excellent ! 😀
Un contre-pied à l’image et un concerto pour piano joué par des personnalités de… marques 😉 !
Bravo pour l’idée Marinade
Seuls au monde mais à deux dans leur bulle, joliment dit.
C’est vrai que les codes changent mais est-ce que ce n’est pas la suite de l’évolution logique depuis les gestes timides de nos aïeux?
La question est intéressante.
Et si l’amour c’était être au bon endroit au bon moment? 😉
La liberté passe par des pieds non douloureux, toutes les femmes savent ça 😉
J’aime ce texte aux accents primesautiers.
De tout temps les pieds se sont cherchés, trouvés, caressés, mais c’est vrai que cette année ils sont montés en grade dans les prémices d’une relation.
Il paraît que le meilleur moment c’est quand on monte l’escalier 😉 vers le 7ème ciel bien sûr!
Le moment juste avant le premier baiser, hmmmh 🙂
J’aime bien ce texte sautillant en musique 🙂
Merci Laurence, « un contre-pied » hi hi hi !
Merci Photonanie
Très joli ! Malgré la COVID, les pieds enlacés ne suffiront pas à ces deux amoureux !
Des codes sociaux à réinventer, c’est tout à fait ça. Mais l’amour reste le plus fort…
Joli rythme dans ton texte du coup très agréable Miss Marple. Bravo
Réapprendre la première fois, les minutes délicieuses pendant lesquelles on apprivoise l’autre. C’est très beau et tellement vrai.
J’adore ! Jolie symphonie humoristique. Que ça fait du bien de sourire. Merci
Tant mieux si ce texte peut faire sourire. Merci Titounette
Un petit air de Raymond Devos…je n’imaginais pas qu’il y ait autant d’expression utilisant le pied ! Super exercice
Bonjour à tous. Je suis très très en retard cette semaine. J’espère que vous prendrez quand même quelques minutes pour me lire…
Roméo kiffe Juliette et Juliette kiffe Roméo
Tous deux bercés de slam sont fans de Grand corps malade
sans doute connaissent-ils beaucoup moins Shakespeare
Issus de milieux pour le moins différents
Elle, fille d’ouvriers
N’a pas les moyens de grandement festoyer
Lui, fils de diplomate, rompu aux ronds de jambes mondains
Par la magie de la diversité,
Dans une classe de lycée ils se sont rencontrés
Cupidon est allé au delà des masques pour décrypter leurs regards
Seulement leur amour est interdit, déjà inconvenant à leur jeune âge .
Alors ils se voient en cachette, s’entremêlent à la moindre occasion des cheveux jusqu’aux baskets
Convaincus que leur amour renversera les barrières des adultes
Eux n’en ont pas et s’aiment éperdument
Car le cœur a ses raisons que les barrières ignorent, qu’elles soient sanitaires ou sociales.
Gageons qu’ils n’auront pas le destin décrit par le dramaturge
Et oui, les temps changent … Moi au collège c’était blouse rose ou beige et au lycée, libération, tenue de son choix sans blouse !
Ces premières amourettes sont toujours émouvantes et gracieuses !
J’aime beaucoup « Nous sommes l’évidence même »
C’est vraiment le pied ce texte ! Bravo !
C’est vraiment le pied ce texte ! Bravo
Merci Rizzie 🙂
Merci Titounette, je ne les ai pas utilisée toutes, je me suis arrêtée quand j’ai eu envie de me reposer…les doigts de pied en éventail 😉
Le prince et la bergère, mais oui c’est possible à notre époque 😉
bien joué
changement pas dans le bon sens, désolée de faire la vieille bique
Comme elle est bonne cette montée du désir. Bravo Laurence délis !
Merci
Chouette, je viens d’apprendre un mot muséal, j’avoue que je ne le connaissais pas ! Et j’aime apprendre 🙂
Exactement
Je me souviens encore de ce moment-là !
Mon tout premier baiser
oui, et j’espère qu’elles le seront toujours. La technologie a beau évoluer très vite, les émois eux ne changent pas et heureusement
Bravo ! Oserais-je dire que tu n’écris pas comme un pied 🙂 Excellent texte
Génial !
Oui tout à fait, bel hommage à ce grand joueur de mots
Fichues barrières, les sanitaires seront faciles à faire tomber dans cette rencontre, malheureusement les autres ! Comme quoi l’histoire se suit et se ressemble souvent
Merci Cécile !
Belle adaptation !
Que risquons-nous d’essayer ?
La liberté d’aimer… bien sûr !
Ils doivent être inventifs dans un monde nouveau.
Difficile de résister à ce désir là !
Histoire simple et tellement normale.
En effet au collège j’ai connu les blouses rose et bleu selon les semaines, un roulement pour les lessives et le repassage…
Quelle belle imagination pour une symphonie haute en couleurs, le choix des mots et les jeux de mots, tu as donné le la !
Autant d’expressions sur nos petons, j’en suis pieds et poings liés ! Superbe !
Ah, Merci Janick !
Comme on les comprend !
Tu vas me faire rougir
Ah, il m’avait échappé celui-là 😉
🙂
pas de rose
mais beaucoup de couleurs dans les blouses de primaire
un rêve, un fantasme, une vraie rencontre?
Un bon conseil que celui de ce grand-père complice. C’est un joli texte qui décrit bien les difficultés des jeunes à se découvrir en ce moment.
J’ adore ces histoires d’amour interdites et ton texte les décrit très bien.
Merci Laurence,
Je crois que oui !
Les trois en même temps, merci à toi !
Oui, je me souviens qu’on les appelait des sarraus.
L’amour comme bagage, comme chemin de vie, une belle idée.
Tout à fait. J’aime beaucoup le vôtre également.
Je trouve que ça manque énormément ces derniers temps. On est tellement fort pour râler, dénoncer mais si peu pour reconstruire, réinventer…
Ou alors l’occasion d’y revenir un peu à l’heure où tout s’expose partout et tout le temps notamment avec les réseaux sociaux ?!?
Tout à fait !!!
Que ça marche ?!? Mais oui osons un peu de temps en temps
J’adore !!!
Oh oui sautons un peu plus, dansons, valsons, laissons nous entraîner par le tourbillon de la vie !!!
Une très belle et poétique première fois
Excellente interrogation que je me pose souvent en observant les personnes autour du moi. Moi au lycée (privé également mais sans uniforme) j’avais épinglé un pin’s « la mode j’m’en fous » sur ma trousse. Mes parents avaient fait le sacrifice de nous payer des études, je me suis payée mon premier Levis au lycée en économisant des mois sur mon argent de poche (et je l’ai encore). Une autre époque aussi où on économisait pour avoir ce qu’on voulait et pas à crédit…
Comme toi j’ai mis mon argent de poche dans une tirelire et en 1ère année de lycée je me suis acheter mon levis 501 brut, qui s’est façonné au fil des années, merci pour ce beau souvenir…