Atelier d’écriture Une photo, quelques mots, n° 433

par | 19 Avr 2023 | Atelier d’écriture | 85 commentaires

@ Christian Bowen

Ouhhhh je suis presque à l’heure pour publier la photo ! Dingue !

Publication des textes dimanche !

A vos claviers, mes amis !

85 Commentaires

  1. « Oui, surfe, surfe sur le bleu des possibles ! »

    De gros nuages noirs sous un ciel azuré
    S’explosent en cent nuées dans l’ardeur de ta vie,
    Des gouttes acides et chaudes tombent sur tes regrets
    Et puis te font plier à l’orée de la pluie.

    La pluie, sous les éclairs, te secoue et s’orage
    Dans des lagunes sans nom, sans issue, sidérantes,
    Dans des idées vaincues, aux barreaux d’une cage,
    D’une grande cave éteinte au souffle doux qui vente.

    Qui vente et qui s’anime et tourne dans ta tête,
    Qui réveille tes sens dans des pluies d’avenirs,
    Dans des bleus devenirs qui disent des peut-être,
    Des possibles, des bientôt … et puis j’entends ton rire …

  2. Voici mon texte au bon endroit

    « Oui, surfe, surfe sur le bleu des possibles ! »

    De gros nuages noirs sous un ciel azuré
    S’explosent en cent nuées dans l’ardeur de ta vie,
    Des gouttes acides et chaudes tombent sur tes regrets
    Et puis te font plier à l’orée de la pluie.

    La pluie, sous les éclairs, te secoue et s’orage
    Dans des lagunes sans nom, sans issue, sidérantes,
    Dans des idées vaincues, aux barreaux d’une cage,
    D’une grande cave éteinte au souffle doux qui vente.

    Qui vente et qui s’anime et tourne dans ta tête,
    Qui réveille tes sens dans des pluies d’avenirs,
    Dans des bleus devenirs qui disent des peut-être,
    Des possibles, des bientôt … et puis j’entends ton rire …

    Répondre

  3. Absolument époustouflant !!

  4. J’aime beaucoup ta poésie sur cette photo, très belle.

  5. Bonjour. Voici mon court texte. Bonne lecture et bon dimanche.

    À toi qui m’enrichie de ton amour,
    À toi qui me réchauffe avec tes sourires,
    À toi qui me tient en éveil avec tes 1000 questions,
    À toi qui me réconforte avec tes câlins,
    À toi qui m’en demande toujours plus,
    À toi qui m’aime pour ce que je suis,

    Merci…

    Pour toi, je me dois de recouvrir des forces,
    Pour toi, je retrouverai un cap,
    Pour toi, je remonterai la pente,
    Pour toi, je chasserai mes idées noires,
    Pour toi, je me réconcilierai avec la vie,
    Pour toi, je resterai ta Maman câlin,

    Tout simplement, pour toi, ma p’tite demoiselle

  6. Une tendre déclaration ❤.

  7. Bon dimanche à tous ! Et au plaisir de vous lire dans la journée 🙂

    Elle s’appelle Léa. Ou peut-être Lucie, Garance ou Noémie. Quand j’ai vu cette photo en fond d’écran sur son téléphone, la première fois, j’ai fondu, mais je me suis tu. J’ai gardé pour moi les questions, les compliments, les conseils et les vœux de bonheur. A quinze ans, un môme, ça veut de l’air et de l’intimité. Alors j’ai souri, le cœur accroché à une étoile filante que j’étais la seule à voir filer. Et puis, j’ai confiance, je sais qu’il me parlera d’elle le moment voulu. Enfin, j’aimerais bien que ça ne tarde pas, la curiosité, ce n’est pas une chose qu’on sait taire bien longtemps. D’ailleurs, en attendant les confidences, j’ai cherché qui pouvait être ce joli visage. Dans mes souvenirs, sur le papier glacé des photos de classe, dans la foule à la sortie du lycée. Sans succès. Alors, je lis dans les yeux de mon fils. Quand il me parle de ses cours, de sport, de sorties entre potes, quand on rit de tout, de rien, quand on se dit bonne nuit, à demain, fais attention à toi, t’as du chocolat sur le nez. Je lis qu’il va bien, qu’il est profondément vivant. Qu’il ne se laisse pas abîmer par l’errance de son père, par notre histoire à trois terminée en éclats. Sois heureux, mon fils. Indécemment heureux. Et moi, je te promets que j’essaierai de l’être aussi.

  8. Cette photo génère de bien belles déclarations.

  9. Une fille du soleil
    En tes mots poétiques

    J’aime
    Et les dents de silex primordiales
    Si jolies

    Aussi…

  10. Un trio avec la douleur
    Abordé en cent caresses de mots

    Sans tonnes d’essais jolis

    J’aime…

  11. Une base solide d’amour
    Qui donnera un projet

    … Forcement, et

    J’aime comme c’est traité
    De À toi à Pour toi

  12. Oh merci ❤

  13. Vases communicants

    Oui, juste lire dans ses yeux
    C’est bien vu
    Et
    J’adore indécemment …

  14. Merci

  15. Merci beaucoup

  16. Une description très poétique, j’aime beaucoup. Bravo

  17. WoW j’adore !!!

  18. Très beau texte !!!

  19. Voici, enfin, un texte

    Je le dis tout de go : je ne pensais pas que ce stage de yoga du rire allait fonctionner. Bien sûr, j’ai dû d’abord affronter les autres participants, leur regard, leurs vaines tentatives de nouer le contact. Je reste seule dans mon coin, les yeux perdus dans cette nature si belle. Je suis devenue farouche : trop de déceptions amères, trop de désillusions, trop d’amours illusoires. « Trop » de toute façon. Ma marque de fabrique. Donc amalgame d’amertume, de colères, de regrets. Mon petit cocktail Molotov à moi. Nécessité de renouer avec qui je suis là-dedans, tout au fond, avec ces émotions refrénées à dessein. Cocotte-minute qui siffle. Seb, c’est pas bien (oui j’oubliais un humour ad hoc… comme le capitaine… voilà voilà).
    Une amie versée dans les médecines alternatives me conseille de mettre mon sourire (petite Gwynplaine) et mon rire (voir ci-dessus) au service du trop-plein de ce «trop ». Quand elle me parle de yoga du rire, j’éclate justement, au souvenir de reportages sur ces gugusses qui feignent de grands ha-ha-ha pour se libérer du fardeau de n’avoir pu faire que six repas bio sur les sept de la semaine.
    Bref, forcée (mon amie paye), je me retrouve au fin fond du Perche avec des dingos du ho-ho-ho. Et en fait… je ne suis pas différente de mon voisin, Gérard, venu retrouver un peu de joie après le décès de sa femme. De Julie, brisée par un pervers narcissique. De Malvina, ado qui sort d’une longue anorexie. Nous sommes tous cassés, nos mâchoires bloquées par nos maux et les mots qui ne sortent pas. Les débuts sont timides et ridicules. Nous sommes tous des Fantômas au rire crispé. Le passage en plein air débloque en nous cette volonté d’air, de souffle, après un séjour dans les abysses. Puis le rire se fait plus franc, nos yeux se croisent, se sourient. Et bientôt jaillit l’éclat jouissif et libérateur. Un rire vrai, sincère, témoin de notre joie d’être au monde, même si celui-ci nous a infligé son lot de blessures. Le souffle court, je m’écroule dans l’herbe épaisse et comme une gosse, je remue les bras et les jambes pour y creuser un ange.

  20. Vraiment joliment écrit. Bravo!

  21. J’aime beaucoup la façon dont tu traduis une émotions en poésie Lothar. Bravo!

  22. Il y a des amours inconditionnels et celui d’une mère pour son enfant en fait nécessairement partie, Céline. Bien rendu, bravo!

  23. On souhaite tous que nos enfants ne prennent que le meilleur de nous. Je lui souhaite donc de s’inventer sa propre histoire d’amour et t’en parler, quand il se sentira prêt.

  24. Bonjour à tous
    petite production dominicale
    bonne semaine

    Elle rigole
    les larmes ruissellent
    elle rimmelle
    des coulées noires
    ourlent ses yeux
    bleus

    elle rit
    la vache !
    Elle rit d’un rire franc
    à la vie
    à sa vie
    celle qui vient
    celle qui renaît lentement
    comme elle est re-née.

    elle a vingt ans
    dans sa tête
    pas soixante dix
    elle rit
    de toutes ses dents
    fausses ! Les dents !
    Elle va pouvoir mordre
    dans la pomme ?
    Non ! Plutôt dans les mois
    à venir
    les années prochaines
    les rêves éparpillés
    les espoirs exaspérants
    les situations ubuesques

    elle rit
    la vie
    elle vit !

  25. A observer la photo de cette gamine prise d’une crise de rigolade, je me dis qu’à mon âge, peu de choses me font encore rire. Il ne faut pas compter sur la télé et ses informations émanant des médias pour soulever chez moi ne serait-ce qu’un vague rictus de joie, ni sur les bêtisiers récurrents aux images affligeantes : voir les gens tomber me navre, je ressens trop la douleur des victimes. Quant aux humoristes qui se succèdent, confondant souvent dérision et méchanceté, ils ne me provoquent aucune hilarité.
    Je fais moins rire aussi. Mes plaisanteries datent un peu et mon public se fait de plus en plus rare. Adolescent, persuadé que mon physique n’était pas mon meilleur atout, je considérais que, faire glousser une fille était une consécration. J’aurais aimé être dans la peau de celui qui a fait se gausser la gamine sur la photo. Ici, dans mon EPHAD de Beaumont sur Creuse, répéter plusieurs fois à table une blague éculée piochée dans une revue manque de charme et de spontanéité. De toutes manières, je suis conscient que maintenant mon rêve de charmer par la plaisanterie doit veiller à ne pas sombrer dans le pathétique.
    Pour mon entourage, je suis rabat-joie, taciturne. « Un vrai bonnet de nuit ! » hurle à côté celle qui compte les points du Scrabble.
    Ils ne savent pas qu’une fois dans ma chambre, chaque soir j’écris. Je note chaque soir tout ce qui m’amuserait si la société était comme je voudrais qu’elle soit. Je me recrée un univers bienveillant, teinté d’ironie et de malice, un univers qui déclenche enfin chez moi le sourire vital. Je n’éprouve même plus le besoin de m’esclaffer. A mon grand âge, sourire face au monde suffit à le doter d’un parfum de poésie.

  26. Magnifique ton texte court. De beaux mots, une belle musicalité, et beaucoup de sentiment. J’aime vraiment.

  27. Ton texte est superbe ! Plein de douleur et de beauté. Et aussi une pudeur qui s’ajoute encore à l’émotion.

  28. Bravo. J’apprécie toujours tes poésies au souffle puissant qui donnent aux photos de nouvelles valeurs.

  29. Joli texte empli d’un sentiment profond. Un cri du coeur.

  30. Oh merci ❤

  31. J’aime beaucoup ton texte de maman curieuse (curiosité légitime ou presque) et cette dualité qui impose le respect de la liberté du fils. Les trois dernières phrases ont la justesse d’un non-dit (adolescence oblige…) mais profondément pensé.

  32. Merci beaucoup pour ce commentaire enthousiaste Kloud !

  33. Excellent ! J’adore cette histoire bien racontée ! Le discours de Charlotte est juste : chacun a une fin. Elle est condamnée à assister au départ d’une multitude de proches. Il y a du pathétique dans son gène Mathusalem (qui n’exclut pas l’accident malheureux…). Tu pourrais écrire une suite, ou un début, sans problème.

  34. Très beau. Ton texte est frais comme un rire d’adolescent. Bravo.

  35. Ravissant !’

  36. Très beau ! « Indécemment heureux » j adore

  37. Miss,
    Re naissance

    Aile rit la vache,
    tout est dit.

    J’aime beaucoup ton stylet frais, oui
    En rime d’Aile,

  38. et puis Elle s’appelle Léa. Ou même peut-être Lucie, Garance ou Noémie.
    quelle ou vert thure sans liens aucuns
    comme j’aime (pas le régime)

  39. Platitude attitude,
    Face figée au monde,

    pfffff …

    pas si vieux toi en cane art
    sur des cannes
    je n’y croix

    tu le joues bien, ici
    in english character, posé-là
    en microcosme confiné de vie poétique
    d’à vents et … quelle qu’elle soit,

    j’ai aimé ma lecture …

  40. Pierre,
    Tu es marchand de sable
    en jolis sabliers de tes mots dits,
    ni de verre ni de bois,
    j’ai toujours depuis 1805 ou pas loin
    avec mon cousin de saint germain,
    en temps dû dire
    qu’on voit mourir beaucoup de gens que l’on aime,
    et c’est là le pire.

    Et oui en une suite ou un début, oui
    …sommes preneurs

  41. Merci de ton commentaire Kloud, j’apprécie.

  42. L’éternité, Lothat, c’est un peu long, dit-on, surtout sur la fin. 🙂

  43. Un sourire franc reste toujours très agréable, Kloud, parfois même plus qu’une grosse rigolade.

  44. Bonsoir
    je poste un peu tardivement mon texte, désolée. La dernière phrase est extraite de Mon alter ego de Jean-Louis Aubert. J’irai vous lire demain.
    Bonne nuit.

    Elle croquait la vie à la pleine dent. Ce cliché, c’est simple, c’est tout elle. Depuis toute petite, elle a toujours eu la banane, ce sourire communicatif. Elle était bien partout et le criait sous tous les toits. A la maison bien sûr, puis chez sa nounou, à l’école maternelle, primaire, au collège. Partout elle irradiait de joie et de bonheur. Tout le monde l’appréciait, les enfants, les filles comme les garçons, les adultes qui la trouvaient très mature pour son âge. Elle avait beaucoup d’amis. L’église n’était pas assez grande pour les accueillir tous.
    Et pourtant, personne n’a rien vu venir. Jusqu’au dernier moment, comme tout le monde, je l’ai crue heureuse. Le dernier matin, comme tous les matins, elle souriait, chantonnait, blaguait… Comment aurais-je pu imaginer que ce serait le dernier matin ? Son dernier matin ? Mon dernier matin ? Notre dernier matin ?
    Elle n’a rien laissé, pas de mot, pas de lettre pour expliquer son geste. On a cherché partout, essayé de comprendre l’incompréhensible. On n’a rien trouvé, les policiers non plus. Rien dans son téléphone, dans son ordinateur pour nous guider. Rien nulle part ! Personne ne sait rien. Personne n’y comprend rien, ni sa meilleure amie, ni son petit-ami… personne ! Comme si elle avait fait un pied de nez à la vie.
    Cela fait des années que je vis avec ce vide que tu as laissé. Quand les policiers ont sonné à la maison ce soir-là, je n’ai pas pu y croire. Je ne voulais pas y croire. C’était sans doute une erreur, tu n’avais aucune raison de faire cela. Ils avaient dû se tromper d’adresse ; Mais ils insistaient et nous ont demandé de les accompagner pour autopsier le corps. Ton petit corps. Même sur ton lit de mort, tu souriais. Tu nous écorchais le cœur mais sur ton visage se lisait la sérénité. Qu’as-tu voulu fuir ? Que nous as-tu caché toutes ses années ? Pourquoi ? Je ne le saurais jamais.
    Sache que depuis, « Dans mon cœur rien ne change, t’es toujours là mon ange. »

  45. Très dur que ce départ d une personne si solaire, peut-être trop belle pour cette vie…

  46. J’aimerais bien essayer ces séances de rire .

  47. Oui, on entend presque son rire .

  48. Le rire n’est pas loin quand même, ça se sent, dans le creux de la nostalgie.

  49. Un texte énergisant, empli du souffle des mots. Merci !

  50. Oh comme ce texte est beau, et émouvant !

  51. Quand la douleur s’immisce entre deux individus. C’est raconté avec beaucoup de délicatesse. Un très beau texte !

  52. Les mots sonnent comme une valse. J’aime beaucoup !

  53. Merci

  54. Un joli balancement entre la première et la deuxième strophe. Adorable de tendresse et un bel élan vers l’avenir. Merci !

  55. Chouette ! Des vers courts qui donnent du peps !

  56. C’est triste, ce rire qui s’éteint avec l’âge. Mais tellement juste. Moralité : gloussant tant qu’on peut. Bonne semaine, Kloud !

  57. je ne sais pas pourquoi mais moi aussi cette photo m’inspirait une nécrologie… j’ai changé d’avis et j’ai eu raison, ta nécrologie est fort belle 🙂

  58. J’adore la fin de ton texte, c est très beau : « dans des bleus devenirs qui disent des peut-ētre, des possibles, des bientôt… » . Et elle vient apporter toute la lumière sur un début un peu sombre. Bravo.

  59. Très touchante cette déclaration. Une maman ( un papa aussi, j imagine) se doit de rester debout, d aller de l’avant malgré les obstacles. C est très joliment écrit.

  60. Oups… Encore un texte très touchant et maman d un ado je ne peux m empêcher de me projeter dans ton personnage. Comme elle, je suis à l affût du moindre changement de réaction, du moindre saut d’humeur…pour m’assurer qu’ il va bien, que je ne passe pas à côté de quelque chose… tellement secret un ado.

  61. Chouette. Ton texte me rappelle un film sorti l ‘année dernière je crois ( j ai oublié le titre mais je vais chercher) où des mecs un peu cassés pas la vie se retrouvent en pleine nature avec un « mentor » … Une belle libération.

  62. Poignant. D’autant que ce texte s’appose sur une photo de gamine qui semble pleine de vie et qui éclate d’un rire sorti d’un bonheur apparent.

  63. Un joli rythme mais j avoue que tes vers m interrogent, ai je bien compris ? Une même personne à deux périodes ou pas?? ( Les fausses dents ..)

  64. Il est vrai que plus on vieillit moins les choses amusent. Je ne suis pas encore en ephad mais je comprends bien le ressenti de ton personnage. Et même si une bonne rigolade de temps en temps fait du bien, sourire aux doux moments de la vie est tout autant agréable.

  65. Bien vu. Oui, on peut tout faire dire à une photo. La diversité des textes de Bricabook l’illustre d’ailleurs bien. Mais, dans ce cadre au moins, chacun semble vouloir respecter le sujet, et c’est tant mieux.

  66. « Une volonté d’air pur »

    Iza,
    ce yoga de rires
    qui se lâche en fin

    ne me fait pleurer, bien au contraire …
    j’ai aimé ma lecture jolie
    et puis quand tout passe par les yeux
    magiquement (en un mot),

    c’est l’humain, c’est ainsi.

  67. oui Séverine, je sais aussi ce proverbe peu connu de Syldavie du sud :
    « Eih bennek, eih blave, yavol blaveth »
    traduit souvent par : glou glou plein quand on pneu …
    mais bon c’est pas facile à traduire, aussi

  68. texte émouvant, oui
    qui dit bien l’impuissance de tout comprendre
    de l’autre

    l’autre nous étonnera toujours
    d’une façon ou d’une autre

    complexus … il n’est dans des cases … figé.

  69. oui Adrienne
    tu as positivé grave sur cette photo jolie
    comme sur instagram ou l’IA trouve
    avec cette même photo
    la légende

    « ne laisse pas mes rides de sourire m’empêcher de sourire. »

    et puis oui, cette semaine je trouve vivant
    les textes, les com’s, tout,

    j’en ris,

    et c’est , oui tant mieux …

  70. merci à vous toutes tous
    pour vos mots dits
    😉

    en fées, ici sur bricabrook en fait

  71. Puisque tu poses une question!! non c’est la même personne après une opération .. vitale!!

  72. En attendant Noël, j’ecris un peu, si peu
    Avec ou sans photo
    Si peu dans le vide, dévidé, corps vidé :

    « Et puis … Ces rires, nos rires »

    Comme la pluie dans tes yeux a un goût doux salé,
    l’amertume de ton rire déborde tout debout,
    tes baisers se divisent en écumes jouées
    de souvenirs qu’émiette l’or de glacis tabous.

    Comme la pluie sur tes joues est toujours eau nouvelle,
    une crue de sanglots refluant sur ta gorge
    des routes de fraîcheur en sillage ruisselle,
    monte en nuées sauvages aux sources de nos forges.

    Comme la pluie sur ton ventre est rivière du monde,
    que tes yeux dans les miens et tes lèvres collées
    nous font perdre le Nord en une jolie ronde,
    nous atteindrons enfin ces Soleils tant aimés.

    Comme nos rires sur ta peau c’est l’eau et puis le feu,
    lors nos torrent s’ébrouent en laves volcaniques,
    atteignant l’embouchure d’un océan furieux
    dans de grands tsunamis d’où la pudeur abdique …

  73. Si tu te languis d’écrire pourquoi ne pas rejoindre notre joyeuse bande de fous du clavier sur l’agenda ironique? Je te mets le lien du vote pour le mois de mai mais si tu remontes un peu tu verras le principe et, si tu suis, tu verras qui organise pour juin et avec quelles consignes. En attendant tu peux lire et voter pour ton ou tes texte(s) préféré(s).
    https://lacraie.art.blog/2023/05/21/agenda-ironique-de-mai-2023/

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