par Alexandra Koszelyk | Mar 6, 2019 | Atelier d’écriture, Une photo, quelques mots
Voici la 325è photo ! Elle servira de base au prochain atelier d’écriture. Quelques modalités : Il s’agit d’écrire un texte à partir de cette photographie. Le ton et le genre sont laissés libres, en revanche une page word sera le grand maximum. Le...
par Alexandra Koszelyk | Mar 4, 2019 | Atelier d’écriture, Une photo, quelques mots
© Sabine Faulmeyer Ce qu’on raconte sur l’au-delà est un tissu d’âneries. Je le sais bien, je viens de mourir. Nulle élévation au-dessus du corps, nulle lumière blanche. On atterrit dans une pièce qui pourrait être la salle d’attente de mon généraliste. Sauf que sur...
par Alexandra Koszelyk | Déc 27, 2018 | Atelier d’écriture, Une photo, quelques mots
Apres les agapes des premières fêtes, voici la photographie de l’atelier 322. Les textes seront publiés le lundi 7 janvier. Notre dîner #Bricabook aura lieu le 4 janvier. Pourriez-vous m’envoyer un mail afin de confirmer votre venue ? Je vous enverrai...
par Alexandra Koszelyk | Déc 5, 2018 | Atelier d’écriture, Une photo, quelques mots
Tout d’abord, un petit point sur le dîner qui nous réunirait. La date du 4 janvier remporte les suffrages. Bloquez votre soirée ! Je vous en dirai plus très vite (je vous contacterai par mail.) Ce sera sympa de vous (re)voir. Autre petit point que je souhaitais...
par Alexandra Koszelyk | Déc 3, 2018 | # Parfois j'écris ..., Atelier d’écriture, Une photo, quelques mots
Chaque week-end, Nicolas se levait aux aurores. Vers 09h 16, quand la brume de mon sommeil s’éclipsait, je retrouvais la table du petit déjeuner mise : trois croissants et une fleur de saison dans un soliflore. Dans le garage, j’entendais Nicolas bricoler....
par Alexandra Koszelyk | Nov 26, 2018 | # Parfois j'écris ..., Atelier d’écriture, Une photo, quelques mots
29 janvier 1942 06h19. Le bec de gaz crachote sa lumière vacillante. Un frisson me zèbre le dos de son arc électrique. Je relève mon col, mais le froid entre toujours sous ma jupe. Je rabats maladroitement les pans de mon manteau, sa laine crisse sous mes doigts. La...
